lundi, février 17, 2014

Feu le socialisme égalitariste mondial !


La fin du socialisme est maintenant inscrite dans les gènes.

Le socialisme tient depuis plus d’un siècle dans une certaine égalité des êtres humains entre eux. Cela semble la base de cette idéologie et ce sont aussi les fondements de leurs lois et gestion sociétale. Cet « égalitarisme » théorique était bien pratique pour les conforter dans leur bonne conscience. A partir du moment où les mérites de chaque individu étaient les mêmes pour chacun, « l’égalitarisme de résultat » pouvait être une voie dans laquelle les politiciens pouvaient s’engouffrer et …. y trouver une justification à leurs raisons d’être et en profiter.

C’était la « société » qui était bien souvent tenue responsable de leurs conditions et les travers de certains individus devaient être excusés par des circonstances atténuantes. Tout cela n’était pas bien méchant si, pour « améliorer » les conditions de vie des individus soit disant « défavorisés », ce n’était pas les plus méritants à tout point de vue qui devenaient lésés. Et c’est de plus en plus ce qui se passe et qui devient, au fil de l’évolution ces dernières décennies, de moins en moins acceptable. Pour en arriver à cela il a aussi fallut passer par de la discrimination positive, de plus en plus inique pour ceux qui devenaient injustement alors, des laissés pour le compte.

Et puis au fil du temps récent, il devient tout aussi évident que ces coups de pouce égalitaristes ne remettent strictement rien à niveau, mais au contraire sont propices à créer une caste d’assistés permanents qui sont alors « nourris » sur le travail de ceux qui peuvent produire des richesses et qui eux commencent à se lasser de voir une partie de plus en plus grande de leurs efforts leur échapper. Le formatage de l’individu nouveau voulu par les collectivistes tout au long du XXème siècle, qui devait leur permettre de tout contrôler est donc de plus en plus battu en brèche.

On voit déjà qu’avec les moyens modernes, informatique, télécommunication et autres réseaux sociaux les segmentations et parce que la technologie le permet commence à descendre au niveau de l’individu. Et quand, dans le même temps « l’acquit » s’efface de plus en plus devant tous les « innés », s’en est finit déjà non seulement de l’individu nouveau « standard », mais de tous les modèles sociaux égalitaristes. Hayek disait déjà, au milieu du siècle dernier, l’impossibilité pour un Etat de gérer une telle diversité et qu’il importait pour lui une politique de « laisser-faire ». Ils ne s’y sont pas encore fait et plus encore en France, mais devront bien s’y faire tant ils ne pourront pas faire autrement.

Alors dans cette société humaine du XXIème siècle, il y a ceux plus beaux, plus intelligents, plus charismatiques et que sais-je encore, que les autres. Il ne va plus être possible bien longtemps de ne pas donner à chacun son mérite et donc accepter que certains individus reçoivent plus que les autres de la société et donc qu’il y ait des riches et des pauvres. Est-ce pour autant que le sentiment ressenti du bonheur devrait l’être suivant des critères de richesses. Tout montre le contraire, même si l’argent peut y contribuer…. un temps !

Que voit-on aujourd’hui, au plan médical cette fois avec le séquençage du génome des individus devenir à un coût de plus en plus abordable ? Un milliard de dollars par séquençage humain il y a un peu plus de 10 ans et moins de 1000 dollars maintenant. Alors et déjà dans les traitements oncologiques, les traitements sont personnalisés, et demain l’analyse des génomes, qui va se faire systématiquement soyons en certain, va montrer que certains individus vont avoir des prédispositions à certaines maladies et mourir plus tôt que d’autres, va forcément bouleverser la gestion sociale par l’Etat. Peut-il dans ces conditions y avoir « un » modèle social ? Je ne le pense pas. Il va bien falloir que l’Etat « lâche prise » et revoit cette fois ci contraint et forcé sa copie. Les gestions socialisantes sont de facto périmées et persévérer serait diabolique et les politiciens devraient alors rendre des comptes.

Le libéralisme dans son acception individualiste commence à être incontournable, du moins moralement.

mardi, février 11, 2014

Le travail "libre" .

Beaucoup nous parlent de vouloir inverser la courbe du chômage en France et encore en 2014, après n’avoir pas réussi à le faire en 2013, je ne vais pas tous les citer ! Et cela à grands renforts d’emplois et de fonds publics, c’est à dire encore une fois avec l’argent des contribuables qui payent des impôts. Et tout ce beau monde nous dit avoir « tout essayé » ! Je ne le crois pas, car vous n’avez pas encore essayé le plus important, faire confiance à tous les résidents sur le territoire français.

Je vais donc encore une fois, car après mes « posts » de 2005, 2006, ou encore de juin 2013,cette solution est encore plus d’actualité en 2014, qu’avant. Le chômage déclaré par ceux qui ont encore des droits continue de monter et pourtant à ces millions de résidents il leur faut bien vivre. Vous trouverez dans mes « posts » antérieurs, un certain nombre de solutions encore plus nécessaires maintenant que jamais, en 2014 et dans l’Etat actuel de la France.

Ma solution tient avant tout du pragmatisme et le « laissez-faire » des libéraux que je préconise, ne coûte rien à l’Etat c’est à dire aux contribuables au contraire de toutes les autres solutions étatistes.
Il va bien falloir qu’un jour déjà, l’Etat ne réserve ses services qu’aux seuls ayant-droits qui ont cotisés ou qui se soient assurés en cas éventuels de défaillance. Toute la misère du monde qui vient en France pour profiter gratuitement de ses « assistances sociales » devrait voir l’ensemble de ses coûts totalisés sur une ligne budgétaire propre, pour deux raisons primordiales, celle d’abord d’une saine gestion et d’autre part pour la transparence démocratique qu’un pays qui se réclame d’être un exemple pour le Monde, doit s’imposer.
Alors il n’y aurait pas lieu, chaque année, de mettre l’acceptation de ce montant au référendum, mais les français sauront lors des moments où il leur faudra renouveler leurs confiances à leurs représentants, s’il y a lieu de reconduire ou non ceux qui auront été trop prodigues de l’argent des autres. Ce serait juste et ce n’est pas ce qui est fait.

Pour cela, je vais donner une posture simple à tout ce qui existe aujourd’hui pour les cotisants. Des divers services sociaux aux assurances chômage en passant par le code du Travail. Je vais les laisser en l’état jusqu’à plus amples analyses. C’est simple non ?

La seule chose que je vais y modifier, ce sera la répression du travail « dissimulé », même si c’est à titre d’essai durant une certaine période. D’ailleurs le statut pris par tous les auto-entrepreneurs depuis ces dernières années n’est, si on y réfléchi bien, pas autre chose. Mais ceux qui y ont principalement recours ont déjà un certain niveau d’éducation, les sdf pour la plupart et tous les immigrés clandestins, entre autres, en ont-ils l’accès ? Et tous ceux qui n’ont pas assez des revenus de leur travail pour joindre les deux bouts, peuvent-ils facilement « vendre » leur travail et leur courage quelques semaines de plus chaque semaine ? Les risques, forcément arbitraires, encourus comme le montre les statistiques mises en exergue, les en empêchent. Car si toute la masse des millions de personnes vivants sur notre territoire n’a d’autres ressources pour y vivre, puisque par définition l’Etat n’a plus les moyens de leur faire la charité sur une telle échelle, il leur faudra bien vivre de tout un ensemble de petits boulots qui existent mais qu’ils ne pratiquent pas puisque d’abord l’Etat leur donne tout gratuitement et qu’une telle activité est interdite et pour eux et pour leurs employeurs.

On reviendra alors à des choses simples où le travail de certains individus qui l’auront accepté, sera rémunéré de la main à la main en liquide chaque semaine par exemple. Pas de contreparties de paiements, pas de recours bien sur mais plus de travail la semaine suivante et les réputations sont rapides à établir. Les soins éventuels, les compagnies d’assurance mettront en place partout des dispensaires au bénéfice de ceux qui avec leurs revenus auront fait la démarche de s’assurer auprès d’eux. Sinon rien. Mais dans le même temps il n’y aura plus de place en France pour ceux qui ne veulent pas travailler pour vivre, mais qui ne cherchent qu’à se mettre simplement à la charge des autres avec la complicité de politiciens qui y trouvent là, leur compte.

Et toute cette économie souterraine va forcément créer de l’activité économique, de la croissance et de l’emploi en bout de la chaîne. Ce qu’il faut faire ! Même philosophiquement et moralement chacun y trouve son compte d’avoir à travailler pour vivre. Sauf bien entendu les « incapables », qui seront pris en charge par l’Etat, mais ce n’est pas d’eux dont je parle ici. Et puis tous ces gens là qui auront aussi eu la capacité de montrer ce qu’ils valent, finiront forcément aussi pour certains, un jour, à entrer sur le marché du travail « blanc » s’ils y trouvent intérêt dans les contreparties payées. Ceux auxquels cela ne conviendrait pas, pourront toujours aller voir dans le pré voisin si l’herbe ne serait pas plus verte.

Quand on met en regard les économies réalisées par une dépense « publique » indue et l’accroissement de l’activité économique et l’encaissement par l’Etat des taxes qui va forcément de ce fait lui revenir, tout cela montre qu’à divers titres, c’est une bonne chose que d’arrêter de réprimer le « libre-travail », première propriété des individus libres. Bien sur, les étatistes de tous bords vont crier au scandale que de laisser les gens libres de travailler, mais leur système ne marche plus et il va bien leur falloir, faire contre mauvaise fortune bon cœur. Les conditions de répression actuelles font la part belle à tous ceux qui se laissent vivre aux frais des autres et économiquement ne peut plus tenir longtemps.

Il est temps de remettre, tous ceux qui prétendent vivre sur notre territoire, au travail et donner aux millions d’individus qui sont inemployables (actuellement et réglementairement parlant) pour toutes sortes de raison, comme par exemple ne valant pas le SMIC ou les sans papiers mais pas encore expulsés, la capacité de vivre de leur travail. Comme tous ceux qui souhaitent, parce qu’ils le peuvent, travailler quelques heures de plus par semaine dans des petits boulots pour améliorer leur niveau de vie, sans tout attendre gratuitement des autres.