Vous avez dit que la France était une démocratie ?
Après 200 jours, mettez bout à bout et dans son programme, ce que le Président Sarkozy a fait et dites-moi si, dans ces conditions, il aurait été élu?
Mes chers compatriotes, si vous votez pour moi, je ferais accepter par le Parlement l'inverse de ce que vous avez souhaité en ce qui concerne l'Union Européenne. Je continuerais les relations pour intégrer la Turquie dans l'Union et je ferais en sorte que les syndicats de fonctionnaires puissent bloquer la France dès l'automne pour défendre leurs intérêts corporatistes, exhorbitants d'iniquité en regard des statuts de ceux qui les font vivre avec leurs impôts, de plus en plus lourds.
Quant à la fonction publique et au poids de l'état, si je diminue de 10 ou 20.000 leur effectif au budget - sur plus de 5 millions - je reverserais cette économie à ceux qui restent sous forme d'augmentation. Pour relancer votre pouvoir d'achat à court terme, je vous laisserais utiliser votre épargne salariale qui était bloquée jusque là dans vos entreprises. Je donnerais par ailleurs des instructions pour qu'à cotisations égales vous soyez moins bien remboursés de vos frais de santé, afin de ne pas réformer cette institution tel que nos partenaires européens nous le demandent depuis longtemps. etc etc.
Est-ce de la politique fiction ? Est-ce du dénigrement systématique de Nicolas Sarkozy ? Je me moquerais de lui ou bien plus simplement je lui permettrais de mettre, avec 200 jours de recul et dans son programme, les seules choses qu'il a réalisées à ce jour? En ce qui me concerne si cela ne s'appelle pas de l'escroquerie, ce sont au moins des manœuvres dolosives. Il ne s'agit plus, simplement, ne pas tenir ses promesses, mais de faire le contraire de ce qu'ont demandé ses électeurs.
Et vous parlez encore de démocratie en France ? Aurait-il été élu et même face à Ségolène ROYAL avec un tel programme ? Je suis de plus en plus persuadé qu'avec ce personnage, on n'a d'ailleurs pas encore tout vu. Comment les français qui pensaient de bonne foi au printemps, porter au pouvoir un réformateur vont-ils prendre cela ? Comment vont-ils réagir ? Voter pour la « gauche » dont ils ont soupés ? Continuer à voter pour ceux qui se réclament de la droite malgré tout pour montrer une fois de plus qu’ils ne veulent pas du socialisme ?
Quel mauvais roman auquel nous assistons et sans rien de possible sauf à une véritable révolution pour sanctionner ce « foutage de gueule » ? Toute la classe politique française avec l’appui des médias qui opprime de plus en plus de monde et conduit la France dans une impasse. Un seul échappatoire pour tous ceux qui le peuvent encore, c’est celui de s’exiler. Avec encore moins de « richesses » à partager demain pour ceux qui restent. D’un coté les nantis de l’emploi et de la qualification encore demandée et tous les autres laissés pour compte de l’école et maintenant du monde du travail qui vont continuer à s’appauvrir et qui deviennent de véritables esclaves avec aucun autre avenir que celui de survivre au jour le jour en priant que la société d’assistance puisse durer le plus longtemps possible. Ce qu’elle ne saura faire.
Et cette « démocratie » serait un « modèle social » ? De moins en moins de personne le croient encore, mais comment pour eux se faire entendre si ceux qui se réclamaient il n’y a pas 6 mois encore d’une alternative à un socialisme létal, viennent de montrer au grand jour qu’ils ne sont que des « Arsène Lupin » de la politique ?
Car il est moins question ici de savoir si la politique menée par la gauche ou la droite doit prévaloir que de savoir si ceux que l’on souhaite élire ne vont pas faire l’inverse du « mandat » électoral qui leur a été donné ! Et l’on n’entend personne après un tel déni pourtant flagrant. « Blackout » des médias ou peuple de veaux ?
mercredi, décembre 05, 2007
dimanche, novembre 25, 2007
De la "démocratie"
Quand je dis que l'on ne peut voter la tête dans un sac, c'est bien pour montrer à tous ceux qui se veulent démocrates, toute l'inanité de leur credo du moins à notre époque?
La démocratie ne peut exister s'il n'y a pas une totale transparence autour de tout ce qui accompagne, qui fait un choix. Et encore continue-t-elle à être toute relative car l'entendement n'est pas le même pour toutes les personnes. Je crois même qu'il est différent pour chacun d'entre nous. Tout ceci me laisse donc à penser que la démocratie ne peut exister. Et elle n'est qu'un alibi qui permet aux politiciens et chacun à leur tour de légitimer leurs actions. Que chacun en soit bien conscient.
Et l'exemple entre autres, du projet de constitution européenne en est un exemple flagrant. On produit un texte abscons et on le soumet au vote référendaire en 2004. Il n'y a que des technocrates qui pouvaient penser, Giscard d'Estaing en tête, que les français allaient l'approuver et dans le fond et dans la forme. Mais c'était compter sans le réflexe "franchouillard" qui, pour une fois nous a "sauvé". Echaudés par les "petites lignes" spoliatrices des contrats d'assurances, les français ont - c'est du moins mon avis - voté "NON" dans leur grande majorité, justement parce qu'ils se méfiaient à juste titre d'un texte incompréhensible pour eux. Et plus la campagne pour ce référendum perdurait, plus les gens s'en tenaient à l'expression de ce vote. En janvier 2004, le "OUI" serait passé, en octobre 2004, cela aurait été 60% de "NON" que nous aurions eu . J'ai lu ce projet et trop de choses y étaient inacceptables pour moi. Je me suis battu et j'ai essayé en provoquant et animant des réunions publiques d'être le prosélyte de ce "NON". Et que l'on ne s'y trompe pas, c'est devenu un "NON" à la technocratie. Et l'on voit bien ce que les politiciens vont faire de ce "NON". C'est bien représentatif de ce que l'"on" (le politicien) fait de la démocratie. Pour moi celle-ci ne devrait exister - et encore - que réservée à un aréopage de sages pour prémunir la nation d'un despotisme qui deviendrait liberticide si outrances.
Alors par quoi remplacer la démocratie pour régir notre beau pays ? Je crois que cela ne peut-être que par un despotisme éclairé et justement tempéré par un conseil de sages. Mais tout cela n'est "vivable" que si l'Etat limite son action à ses fonctions régaliennes. C'est ce dont nous avons besoin et ce que réclament les libéraux, du moins les vrais. Laisser faire les gens entre eux et "sécuriser" les "contrats" passés entre eux. Et dans une certaine mesure, c'est ce à quoi l'on assiste en Chine, pour ceux qui veulent voir les résultats d'une telle politique. Un régime de fer pour empêcher de transgresser les règles imposées par les "contrats", mais après que les individus s'entendent entre eux. Et l'on voit bien que par ajustements successifs, les équilibres se font et vont continuer à se faire sur le marché qui aujourd'hui ne peut-être que mondial. Et "l'étalon" de référence c'est le seul travail et le capital, rien d'autre. Mais cela conduit aussi à un équilibre dans la tête de ceux qui sont régis par de telles règles. Ils savent que s'ils travaillent plus et prennent aussi le risque d'entreprendre, ils élèveront leur condition. Et ceci quels qu'ils soient et de quelques origines qu'ils soient. Est-ce le cas en France aujourd'hui dans notre "société" ? Et comment la démocratie est-elle - comment d'ailleurs pourrait-elle - être appliquée dans cette Chine de près d'un milliard et demi d'habitants et de niveaux "intellectuels" tellement différents ?
Tout ceci montre bien que pour le seul "bien du plus grand nombre" et la capacité d'évolution des individus pris dans leur véritable individualité, la démocratie n'est pas une condition obligatoire. Et à partir de ce que l'on voit en faire en France par les "politiques", cette démocratie n'est qu'un mot qui finit, comme on le voit, qu'à servir à manipuler et à contraindre. Et comme on le voit aujourd'hui en France, dans la mauvaise direction. Mais comme le disait Lafontaine, "tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle casse". Les aménagements de ce constructivisme qui croyait ne plus avoir de fin, finit par montrer non seulement des limites, mais le rend de plus en plus irréformable. Et quand un "système" devient de plus en plus figé et à la fois irréformable, il n'existe plus que la solution de tout mettre à terre et de rebâtir depuis "zéro". Cela va peut-être être une chance pour la France. Cela va certainement donner le vertige à beaucoup de français, mais au même titre qu'à l'animal que l'on tient encagé et qui est brutalement et enfin, renvoyé à la nature. Il va s'adapter. Les français le feront aussi et ce sera un bien pour notre nation. C'est la force des choses. Et cela montrera s'il en était encore besoin que le mot démocratie n'était qu'une "tournure d'esprit" permettant à des individus d'en manipuler d'autres sous l'alibi de la recherche d'un fallacieux "intérêt collectif", mais qui n'est en fait que la "défense" d'un intérêt corporatiste, celui de la classe politique.
La démocratie ne peut exister s'il n'y a pas une totale transparence autour de tout ce qui accompagne, qui fait un choix. Et encore continue-t-elle à être toute relative car l'entendement n'est pas le même pour toutes les personnes. Je crois même qu'il est différent pour chacun d'entre nous. Tout ceci me laisse donc à penser que la démocratie ne peut exister. Et elle n'est qu'un alibi qui permet aux politiciens et chacun à leur tour de légitimer leurs actions. Que chacun en soit bien conscient.
Et l'exemple entre autres, du projet de constitution européenne en est un exemple flagrant. On produit un texte abscons et on le soumet au vote référendaire en 2004. Il n'y a que des technocrates qui pouvaient penser, Giscard d'Estaing en tête, que les français allaient l'approuver et dans le fond et dans la forme. Mais c'était compter sans le réflexe "franchouillard" qui, pour une fois nous a "sauvé". Echaudés par les "petites lignes" spoliatrices des contrats d'assurances, les français ont - c'est du moins mon avis - voté "NON" dans leur grande majorité, justement parce qu'ils se méfiaient à juste titre d'un texte incompréhensible pour eux. Et plus la campagne pour ce référendum perdurait, plus les gens s'en tenaient à l'expression de ce vote. En janvier 2004, le "OUI" serait passé, en octobre 2004, cela aurait été 60% de "NON" que nous aurions eu . J'ai lu ce projet et trop de choses y étaient inacceptables pour moi. Je me suis battu et j'ai essayé en provoquant et animant des réunions publiques d'être le prosélyte de ce "NON". Et que l'on ne s'y trompe pas, c'est devenu un "NON" à la technocratie. Et l'on voit bien ce que les politiciens vont faire de ce "NON". C'est bien représentatif de ce que l'"on" (le politicien) fait de la démocratie. Pour moi celle-ci ne devrait exister - et encore - que réservée à un aréopage de sages pour prémunir la nation d'un despotisme qui deviendrait liberticide si outrances.
Alors par quoi remplacer la démocratie pour régir notre beau pays ? Je crois que cela ne peut-être que par un despotisme éclairé et justement tempéré par un conseil de sages. Mais tout cela n'est "vivable" que si l'Etat limite son action à ses fonctions régaliennes. C'est ce dont nous avons besoin et ce que réclament les libéraux, du moins les vrais. Laisser faire les gens entre eux et "sécuriser" les "contrats" passés entre eux. Et dans une certaine mesure, c'est ce à quoi l'on assiste en Chine, pour ceux qui veulent voir les résultats d'une telle politique. Un régime de fer pour empêcher de transgresser les règles imposées par les "contrats", mais après que les individus s'entendent entre eux. Et l'on voit bien que par ajustements successifs, les équilibres se font et vont continuer à se faire sur le marché qui aujourd'hui ne peut-être que mondial. Et "l'étalon" de référence c'est le seul travail et le capital, rien d'autre. Mais cela conduit aussi à un équilibre dans la tête de ceux qui sont régis par de telles règles. Ils savent que s'ils travaillent plus et prennent aussi le risque d'entreprendre, ils élèveront leur condition. Et ceci quels qu'ils soient et de quelques origines qu'ils soient. Est-ce le cas en France aujourd'hui dans notre "société" ? Et comment la démocratie est-elle - comment d'ailleurs pourrait-elle - être appliquée dans cette Chine de près d'un milliard et demi d'habitants et de niveaux "intellectuels" tellement différents ?
Tout ceci montre bien que pour le seul "bien du plus grand nombre" et la capacité d'évolution des individus pris dans leur véritable individualité, la démocratie n'est pas une condition obligatoire. Et à partir de ce que l'on voit en faire en France par les "politiques", cette démocratie n'est qu'un mot qui finit, comme on le voit, qu'à servir à manipuler et à contraindre. Et comme on le voit aujourd'hui en France, dans la mauvaise direction. Mais comme le disait Lafontaine, "tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle casse". Les aménagements de ce constructivisme qui croyait ne plus avoir de fin, finit par montrer non seulement des limites, mais le rend de plus en plus irréformable. Et quand un "système" devient de plus en plus figé et à la fois irréformable, il n'existe plus que la solution de tout mettre à terre et de rebâtir depuis "zéro". Cela va peut-être être une chance pour la France. Cela va certainement donner le vertige à beaucoup de français, mais au même titre qu'à l'animal que l'on tient encagé et qui est brutalement et enfin, renvoyé à la nature. Il va s'adapter. Les français le feront aussi et ce sera un bien pour notre nation. C'est la force des choses. Et cela montrera s'il en était encore besoin que le mot démocratie n'était qu'une "tournure d'esprit" permettant à des individus d'en manipuler d'autres sous l'alibi de la recherche d'un fallacieux "intérêt collectif", mais qui n'est en fait que la "défense" d'un intérêt corporatiste, celui de la classe politique.
dimanche, novembre 11, 2007
Vous avez dit "blocage" pour les Universités françaises ?
Et l’on recommence, en particulier dans les universités, ce qui s’est passé au début de l’année 2006 lors du CPE. Assemblées générales fantoches et complaisance pour ne pas dire complicité de certains directeurs et médias et voilà l’université fermée !
Ce sont moins de 5 % des acteurs de l’université (étudiants, professeurs, directeurs) qui véritablement bloqueraient ces universités. Pour un spectateur extérieur cela peut paraître irréaliste, mais cela traduit bien, une fois de plus, la société française.
Quand on sait que c’est plus de la moitié des jeunes, donc des étudiants, qui auraient voté pour Sarkozy et son programme de réformes et en particulier pour l’autonomie des universités comme partout dans le monde occidental, cela peut paraître surréaliste que de ne pas voir s’exprimer, dans ces temps d’agitation étudiante, tous ceux qui, il n’y a pas si longtemps, la voulaient dans les urnes.
Je ne parle pas de les voir s’exprimer dans les grands médias - tenus par les forces de gauche, - mais de s’exprimer en allant « foutre une raclée » et en les sortant d’une enceinte où ils ne devraient pas être, à ces groupuscules de quelques dizaines d’individus.
Peur et docilité de français dans la soumission.
Docilité dans la soumission. Docilité dans le politiquement correct véhiculé par les médias avec la complaisance de la plupart de nos hommes politiques. Il serait de « mauvais ton » qu’un seul des 95% des acteurs restant se rebelle et avec la même agressivité combative que ces groupuscules, contre ce diktat d’une ultra-minorité.
Et pourtant empêcher cette chienlit pour les citoyens majeurs que sont la plupart des étudiants et professeurs ce serait bien faire preuve de civisme. Contre l’illégalité c’est aussi à chacun de remonter ses manches, de prendre ses responsabilités et de foutre dehors ceux qui s’arrogent, par des parodies de démocraties, de troubler impunément l’ordre public.
Demain, tous ces étudiants qui pleurent que leurs universités soient fermées et qui de ce fait ne peuvent étudier, devront faire preuve d’une autre combativité et d’une autre détermination dans leur vie d’individus dans le monde qui les attend. Et faire le coup de poing pour défendre leur »bien » qui est l’enseignement supérieur public, n’est pas, ne doit pas être répréhensible. Alors pourquoi, nous, autres citoyens, ne voyons-nous rien venir ?
Il semblerait donc en l’espèce que tous ces « étudiants » n’auraient rien à défendre. Que pour la grande majorité d’entre eux, ils n’attendent rien de leurs études supérieures à l’Université, qu’ils seraient là que pour avoir une peau d’âne dont chacun d’entre eux sait bien la perte de pertinence et de valeur.
Car enfin si ces études représentaient quelque chose à leurs yeux, il y a longtemps qu’ils se seraient occupé de faire le ménage, même à coup de barre de fer parmi ceux qui les prennent en otage. Attendent-ils que ce soit le Président de la République, en personne, qui les appellent solennellement à se révolter et à prendre les armes pour faire valoir leurs droits aujourd’hui bafoués ?
Et là pour une fois ce ne serait pas une mauvaise chose. Pourquoi ce serait toujours aux autres et à la police de monter au créneau, alors que ces provocateurs n’attendent que cela et la « bavure » ou l’incident éventuel à la Malik Oussekine, pour changer de sujet et faire oublier le fond. « Etudiants, prenez vos propres affaires en mains et montrez-nous que vous tenez à une université libre où la seule chose que vous désirez y trouver c’est le savoir et le savoir-faire ! » aurait franchement de l’allure.
Mais le principal problème de tous ces étudiants, ne serait-ce pas d’abord la peur. Peur de ne pas être dans le politiquement correct, peur pour leur intégrité physique dans une confrontation avec d’autres jeunes embrigadés qui eux ne l’ont pas. Peur de la mondialisation contre laquelle, il demandent (là dans leur plus grande majorité) à l’Etat de les protéger. Attendant encore une fois tout des autres.
Aujourd’hui c’est d’abord à eux qu’il appartient de relever la tête et de défendre ce en quoi ils croient. Et ce sera là le premier pas vers leur autonomie et leur liberté d’individu. Et ce sera d’abord pour eux le début de la confiance en eux, dont il leur faudra immanquablement faire preuve, dans les années à venir pour seulement vivre, dans la mondialisation inéluctable à laquelle ils seront confrontés. Cela c’est une certitude.
Ce sont moins de 5 % des acteurs de l’université (étudiants, professeurs, directeurs) qui véritablement bloqueraient ces universités. Pour un spectateur extérieur cela peut paraître irréaliste, mais cela traduit bien, une fois de plus, la société française.
Quand on sait que c’est plus de la moitié des jeunes, donc des étudiants, qui auraient voté pour Sarkozy et son programme de réformes et en particulier pour l’autonomie des universités comme partout dans le monde occidental, cela peut paraître surréaliste que de ne pas voir s’exprimer, dans ces temps d’agitation étudiante, tous ceux qui, il n’y a pas si longtemps, la voulaient dans les urnes.
Je ne parle pas de les voir s’exprimer dans les grands médias - tenus par les forces de gauche, - mais de s’exprimer en allant « foutre une raclée » et en les sortant d’une enceinte où ils ne devraient pas être, à ces groupuscules de quelques dizaines d’individus.
Peur et docilité de français dans la soumission.
Docilité dans la soumission. Docilité dans le politiquement correct véhiculé par les médias avec la complaisance de la plupart de nos hommes politiques. Il serait de « mauvais ton » qu’un seul des 95% des acteurs restant se rebelle et avec la même agressivité combative que ces groupuscules, contre ce diktat d’une ultra-minorité.
Et pourtant empêcher cette chienlit pour les citoyens majeurs que sont la plupart des étudiants et professeurs ce serait bien faire preuve de civisme. Contre l’illégalité c’est aussi à chacun de remonter ses manches, de prendre ses responsabilités et de foutre dehors ceux qui s’arrogent, par des parodies de démocraties, de troubler impunément l’ordre public.
Demain, tous ces étudiants qui pleurent que leurs universités soient fermées et qui de ce fait ne peuvent étudier, devront faire preuve d’une autre combativité et d’une autre détermination dans leur vie d’individus dans le monde qui les attend. Et faire le coup de poing pour défendre leur »bien » qui est l’enseignement supérieur public, n’est pas, ne doit pas être répréhensible. Alors pourquoi, nous, autres citoyens, ne voyons-nous rien venir ?
Il semblerait donc en l’espèce que tous ces « étudiants » n’auraient rien à défendre. Que pour la grande majorité d’entre eux, ils n’attendent rien de leurs études supérieures à l’Université, qu’ils seraient là que pour avoir une peau d’âne dont chacun d’entre eux sait bien la perte de pertinence et de valeur.
Car enfin si ces études représentaient quelque chose à leurs yeux, il y a longtemps qu’ils se seraient occupé de faire le ménage, même à coup de barre de fer parmi ceux qui les prennent en otage. Attendent-ils que ce soit le Président de la République, en personne, qui les appellent solennellement à se révolter et à prendre les armes pour faire valoir leurs droits aujourd’hui bafoués ?
Et là pour une fois ce ne serait pas une mauvaise chose. Pourquoi ce serait toujours aux autres et à la police de monter au créneau, alors que ces provocateurs n’attendent que cela et la « bavure » ou l’incident éventuel à la Malik Oussekine, pour changer de sujet et faire oublier le fond. « Etudiants, prenez vos propres affaires en mains et montrez-nous que vous tenez à une université libre où la seule chose que vous désirez y trouver c’est le savoir et le savoir-faire ! » aurait franchement de l’allure.
Mais le principal problème de tous ces étudiants, ne serait-ce pas d’abord la peur. Peur de ne pas être dans le politiquement correct, peur pour leur intégrité physique dans une confrontation avec d’autres jeunes embrigadés qui eux ne l’ont pas. Peur de la mondialisation contre laquelle, il demandent (là dans leur plus grande majorité) à l’Etat de les protéger. Attendant encore une fois tout des autres.
Aujourd’hui c’est d’abord à eux qu’il appartient de relever la tête et de défendre ce en quoi ils croient. Et ce sera là le premier pas vers leur autonomie et leur liberté d’individu. Et ce sera d’abord pour eux le début de la confiance en eux, dont il leur faudra immanquablement faire preuve, dans les années à venir pour seulement vivre, dans la mondialisation inéluctable à laquelle ils seront confrontés. Cela c’est une certitude.
lundi, septembre 17, 2007
Défendre le Libéralisme
Hier 16 septembre 2007, ce fut la fête de la Liberté à l’Espace Charenton. La deuxième du genre après celle de Nogent sur Marne l’année dernière. Merci Jacques de Guénin à travers Liberté Chérie. Plus grand, plus de monde, plus d’associations libérales, plus de stands, plus de publications. Le monde libéral semble petit à petit émerger du magma collectiviste. Enfin !
Si les médias n’ont pas encore trouvé « l’ouverture » pour parler et relayer cette fête, comme ils l’ont fait abondamment en ce qui concernait la fête de l’Humanité, on a donc parlé beaucoup ce week-end de libéralisme, mais encore trop dans son concept « d’anti-libéralisme ». Et pour ma part j’ai trouvé chez tous ces gens, qui avaient vraiment besoin de tous « s’associer » pour continuer à exister un tant soit peu, une agressivité nouvelle sur ce que faisaient leurs opposants, c'est à dire la société civile, un peu comme celui qui n’a plus rien de valable à dire pour sa défense et pour qui l’invective tient lieu d’argument.
Alors on sent bien à travers tout cela que les français, dans leur majorité, cherchent et cherchent encore de nouvelles voies pour que la France s'en sorte et qu’à défaut de trouver un socialisme salvateur, ils semblent bien contraints de se tourner peu ou prou vers les idées libérales. Il importe alors, que plus que jamais, il puisse y avoir une certaine harmonie dans notre discours libéral.
Dans cette journée de la Liberté et au contraire de la première édition, pas de participation officielle du nouveau parti politique Alternative Libérale. Bien que l’on retrouve chez certains participants une certaine « transversalité », participation à une association cherchant à promouvoir le libéralisme et adhésion à AL. Alors faut-il en conclure qu’un parti politique n’avait pas sa place, hier, parmi des associations ? Pourtant ce sont bien les mêmes buts qui sont recherchés là, volonté de présenter aux français des solutions libérales.
En ce qui me concerne, la pierre d’achoppement de tout cela, est bien de savoir quel libéralisme l’on entend et l'on doit présenter aux français. Le vrai et simple libéralisme ou bien un libéralisme édulcoré de « politicianisme » ? Y aurait-il un "libéralisme de compromission" qui devrait être le « cheval de Troie » du vrai libéralisme et ceci sous le prétexte que le vrai libéralisme, les français ne seraient pas encore prêts à en entendre parler ? Et ceci parce que l’ostracisme serait encore trop grand sur la simple évocation de son nom ?
En ce qui me concerne, les épisodes récents qui ont émaillés la vie d’AL ces derniers mois, m’ont gênés surtout dans la teneur de leur programme que je trouvais trop constructiviste et encore trop étatiste pour vraiment représenter des solutions libérales qui en sont dans l'absolu à l'opposé. La cerise sur le gâteau, pour moi encore, aura été le soutien au super étatiste Bayrou sous prétexte de « monter dans le train » d’un défenseur de la proportionnelle ! Pour beaucoup d’autres ce fut la manière de ce choix du soutien à Bayrou. "Paris" et le Codir n'auraient pas, dans la précipitation consulté les adhérents - qui "font" aussi AL, il faut le reconnaître - pour une décision qui il est vrai pouvait les prendre à contrepieds dans les discours qu'ils tenaient, eux, sur le terrain. Je ne sais pas s’il ne s’agit pas pour eux d’un faux-nez. Qu'on se replace dans le même contexte et si au lieu de soutenir Bayrou, le CODIR avait choisi de cette même manière « anti-démocratique », de ne soutenir personne. Y aurait-il eu dans les rangs d'AL, le même tolé ?
Et voici qu'aujourd'hui, en cet automne 2007, le mouvement libéral qui entre à nouveau en résonance. D’un coté AL qui, à juste titre veut créer une « commission grise » pour la croissance (contre celle d'Attali) et de l’autre l’ALEPS qui transforme son Guide du Candidat en Guide de la Réforme. Deux démarches pour un même but : donner aux français des solutions libérales pragmatiques pour la Réforme qui vise la relance de la croissance.
AL qui veut communiquer avec les électeurs sur des solutions libérales et l’ALEPS qui, enfin, traduit la pensée libérale en actes faisables par ceux qui veulent réformer la France. AL qui veut avoir tiré toutes les leçons de ses échecs récents et qui pense qu’avec plus de démocratie interne, les choses devraient aller dans le bon sens pour leur mouvement et l’ALEPS qui regarde encore le monde politique depuis sa chaire professorale, afin de ne pas laisser ses idées être enfermées dans des contraintes électoralistes.
Et si demain AL voulait bien condescendre à défendre le libéralisme « pratique » des professeurs d’économie de l’ALEPS ? Et si le programme politique d’AL était le Guide de la Réforme de l’ALEPS ? Et si la « commission grise » sur la croissance que veut mettre en place AL s’appuyait largement sur l’avis de tous les libéraux des Associations composant la fête de la Liberté comme Liberté Chérie, Contribuables Associés et autres, dont bien sur l’ALEPS sur ce sujet sur lequel les libéraux ont tant à dire, plutôt que de vouloir, seuls dans leur coin, décliner dans la vie pratique la pensée libérale ?
Une chose est sure et je ne sais pas si les français sont encore tous imperméables à un discours qui serait "brocardé" de "libéral", c'est que s'ils souhaitent encore trop être protégés par l'Etat, ils aspirent de plus en plus à retrouver la Liberté. Ils commencent à comprendre, même confusément, que le prix de cette "protection" devient de plus en plus cher à payer en terme de lois liberticides. Sans d'ailleurs ne rien résoudre car le cancer continuera à frapper et que la seule solution pour ne vraiment plus avoir de "morts sur la route" c'est que plus personne ne prenne sa voiture !
Alors demain, AL va-t-il, à l’instar de l'élaboration de son programme, défendre dans cette commission des solutions non libérales, concoctées pour de simples visées électoralistes ou bien va-t-il être le véritable porte parole "politique" d’une commission sur la croissance, issue de tous les libéraux qui réfléchissent depuis des décennies sur tout ce que les mesures libérales pourraient apporter à la croissance en France.
Il y a là, il me semble et pour quelques mois, une bonne fenêtre de tir pour réconcilier tout le petit monde libéral français. AL a du pouvoir mesurer, depuis ces 6 derniers mois, tout ce que lui coûtait d’être en marge de beaucoup trop de libéraux français, pour laisser filer une telle opportunité. Croisons les doigts pour qu’Edouard Fillias comprenne le bien fondé de cette option et incite son parti à faire preuve, là dessus, de bon sens. Ce n’est pas encore l’heure pour eux d'avoir à faire des compromissions politiciennes pour gouverner ! Alors qu’AL soit « intolérant sur les valeurs libérales » et quitte un discours électoraliste qui n'est pas d'actualité !
Si les médias n’ont pas encore trouvé « l’ouverture » pour parler et relayer cette fête, comme ils l’ont fait abondamment en ce qui concernait la fête de l’Humanité, on a donc parlé beaucoup ce week-end de libéralisme, mais encore trop dans son concept « d’anti-libéralisme ». Et pour ma part j’ai trouvé chez tous ces gens, qui avaient vraiment besoin de tous « s’associer » pour continuer à exister un tant soit peu, une agressivité nouvelle sur ce que faisaient leurs opposants, c'est à dire la société civile, un peu comme celui qui n’a plus rien de valable à dire pour sa défense et pour qui l’invective tient lieu d’argument.
Alors on sent bien à travers tout cela que les français, dans leur majorité, cherchent et cherchent encore de nouvelles voies pour que la France s'en sorte et qu’à défaut de trouver un socialisme salvateur, ils semblent bien contraints de se tourner peu ou prou vers les idées libérales. Il importe alors, que plus que jamais, il puisse y avoir une certaine harmonie dans notre discours libéral.
Dans cette journée de la Liberté et au contraire de la première édition, pas de participation officielle du nouveau parti politique Alternative Libérale. Bien que l’on retrouve chez certains participants une certaine « transversalité », participation à une association cherchant à promouvoir le libéralisme et adhésion à AL. Alors faut-il en conclure qu’un parti politique n’avait pas sa place, hier, parmi des associations ? Pourtant ce sont bien les mêmes buts qui sont recherchés là, volonté de présenter aux français des solutions libérales.
En ce qui me concerne, la pierre d’achoppement de tout cela, est bien de savoir quel libéralisme l’on entend et l'on doit présenter aux français. Le vrai et simple libéralisme ou bien un libéralisme édulcoré de « politicianisme » ? Y aurait-il un "libéralisme de compromission" qui devrait être le « cheval de Troie » du vrai libéralisme et ceci sous le prétexte que le vrai libéralisme, les français ne seraient pas encore prêts à en entendre parler ? Et ceci parce que l’ostracisme serait encore trop grand sur la simple évocation de son nom ?
En ce qui me concerne, les épisodes récents qui ont émaillés la vie d’AL ces derniers mois, m’ont gênés surtout dans la teneur de leur programme que je trouvais trop constructiviste et encore trop étatiste pour vraiment représenter des solutions libérales qui en sont dans l'absolu à l'opposé. La cerise sur le gâteau, pour moi encore, aura été le soutien au super étatiste Bayrou sous prétexte de « monter dans le train » d’un défenseur de la proportionnelle ! Pour beaucoup d’autres ce fut la manière de ce choix du soutien à Bayrou. "Paris" et le Codir n'auraient pas, dans la précipitation consulté les adhérents - qui "font" aussi AL, il faut le reconnaître - pour une décision qui il est vrai pouvait les prendre à contrepieds dans les discours qu'ils tenaient, eux, sur le terrain. Je ne sais pas s’il ne s’agit pas pour eux d’un faux-nez. Qu'on se replace dans le même contexte et si au lieu de soutenir Bayrou, le CODIR avait choisi de cette même manière « anti-démocratique », de ne soutenir personne. Y aurait-il eu dans les rangs d'AL, le même tolé ?
Et voici qu'aujourd'hui, en cet automne 2007, le mouvement libéral qui entre à nouveau en résonance. D’un coté AL qui, à juste titre veut créer une « commission grise » pour la croissance (contre celle d'Attali) et de l’autre l’ALEPS qui transforme son Guide du Candidat en Guide de la Réforme. Deux démarches pour un même but : donner aux français des solutions libérales pragmatiques pour la Réforme qui vise la relance de la croissance.
AL qui veut communiquer avec les électeurs sur des solutions libérales et l’ALEPS qui, enfin, traduit la pensée libérale en actes faisables par ceux qui veulent réformer la France. AL qui veut avoir tiré toutes les leçons de ses échecs récents et qui pense qu’avec plus de démocratie interne, les choses devraient aller dans le bon sens pour leur mouvement et l’ALEPS qui regarde encore le monde politique depuis sa chaire professorale, afin de ne pas laisser ses idées être enfermées dans des contraintes électoralistes.
Et si demain AL voulait bien condescendre à défendre le libéralisme « pratique » des professeurs d’économie de l’ALEPS ? Et si le programme politique d’AL était le Guide de la Réforme de l’ALEPS ? Et si la « commission grise » sur la croissance que veut mettre en place AL s’appuyait largement sur l’avis de tous les libéraux des Associations composant la fête de la Liberté comme Liberté Chérie, Contribuables Associés et autres, dont bien sur l’ALEPS sur ce sujet sur lequel les libéraux ont tant à dire, plutôt que de vouloir, seuls dans leur coin, décliner dans la vie pratique la pensée libérale ?
Une chose est sure et je ne sais pas si les français sont encore tous imperméables à un discours qui serait "brocardé" de "libéral", c'est que s'ils souhaitent encore trop être protégés par l'Etat, ils aspirent de plus en plus à retrouver la Liberté. Ils commencent à comprendre, même confusément, que le prix de cette "protection" devient de plus en plus cher à payer en terme de lois liberticides. Sans d'ailleurs ne rien résoudre car le cancer continuera à frapper et que la seule solution pour ne vraiment plus avoir de "morts sur la route" c'est que plus personne ne prenne sa voiture !
Alors demain, AL va-t-il, à l’instar de l'élaboration de son programme, défendre dans cette commission des solutions non libérales, concoctées pour de simples visées électoralistes ou bien va-t-il être le véritable porte parole "politique" d’une commission sur la croissance, issue de tous les libéraux qui réfléchissent depuis des décennies sur tout ce que les mesures libérales pourraient apporter à la croissance en France.
Il y a là, il me semble et pour quelques mois, une bonne fenêtre de tir pour réconcilier tout le petit monde libéral français. AL a du pouvoir mesurer, depuis ces 6 derniers mois, tout ce que lui coûtait d’être en marge de beaucoup trop de libéraux français, pour laisser filer une telle opportunité. Croisons les doigts pour qu’Edouard Fillias comprenne le bien fondé de cette option et incite son parti à faire preuve, là dessus, de bon sens. Ce n’est pas encore l’heure pour eux d'avoir à faire des compromissions politiciennes pour gouverner ! Alors qu’AL soit « intolérant sur les valeurs libérales » et quitte un discours électoraliste qui n'est pas d'actualité !
samedi, septembre 08, 2007
07-09-07, défaite des dirigeants actuels de la "France"
« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ». Jean de la Fontaine.
Nous avons, le 7 sept 2007, assisté à plus qu’un match de rugby. L’événement était trop symptomatique pour être laissé dans l’anecdote du temps qui passe.
A quel match, nous ont convié les quinze rugbymen qui représentaient la France hier au soir ? Au match d’un groupe d’hommes, paralysés par la peur, et qui n’ont, sauf à de rares moments, montré tous leurs potentiels. Alors pour faire court, merci aux préparateurs physiques de l’équipe de France, merci aux joueurs pour leurs talents, mais zéro pointé à Bernard Laporte pour n’avoir pas su amener ce groupe au jour « J » dans la plénitude de son expression collective.
Quel rapport cette défaite peut-elle avoir avec un blog libertarien ? Mais tout et c’est justement un nouvel exemple de notre France actuelle, surtout de celle que le nouveau Tex Avery de la politique française, j’ai nommé Nicolas Sarkozy, veut pour la France. Hier au soir, du moins en ce qui me concerne, c’est à une nouvelle défaite et de Bernard Laporte et de Nicolas Sarkozy lui-même à laquelle j’ai assisté.
Si la télévision nous a montré souvent l’hystérie de Bernard Laporte dans les vestiaires, hier au soir nous l’avons vu trop souvent excité et rouge de colère derrière son écran de « contrôle ». Mais n’était-il pas fâché avant toute chose, d’abord contre lui-même ? Et pour le petit Nicolas qui, avant la rencontre, faisait de ce match « que l’on ne pouvait pas perdre » l’exemple de la France en marche vers un redressement « collectif » auquel il invitait tous les français à s’associer, quel « flop » !
Et sur le terrain, j’ai avant tout ressenti, sur les épaules de tous nos joueurs cette peur de mal faire, cette peur de ne pas savoir « plaire » à Monsieur Laporte, nouveau Deus ex machina, aujourd’hui du rugby, demain de la jeunesse et des sports dans notre pays ?
Arrêtons ce volontarisme « virtuel », dans le rugby comme d’ailleurs en France, la première des vertus d’un « guide » c’est d’abord de savoir permettre à tous les individus qui composent « l’équipe » de s’exprimer pleinement. Et pour cela il faut d’abord leur faire confiance et qu’ils sachent, une fois sur le terrain, s’exprimer pleinement. Mais cette confiance se traduit d’abord par un « transfert » de responsabilités qui se manifeste par la quiétude du sélectionneur sur son banc à partir du moment où l’équipe entre sur le terrain. Les trépignements de Bernard Laporte, hier au soir, m’ont montré tout le contraire.
Et il en a été de la résultante de cette équipe hier au soir, comme pour la France quand il s’agit de la croissance, elles n’ont pas été au rendez-vous souhaités par nos « guides ». Et ils ont beau « rager » du haut de leurs tribunes, elles ne peuvent pas être là demain tant que ce « transfert de responsabilités » sur les seuls individus, soit qui sont sur le terrain, soit qui s’expriment individuellement dans leur travail n’aura pas eu lieu. Le collectif, c’est la résultante des actions de chacun des participants, comme la croissance c’est la résultante du travail de chacun. Ce n’est rien comprendre à l’économie que de mettre là encore la charrue avant les bœufs !
Et c’est bien Bernard Laporte, dans ces conditions, qui porte l’entière responsabilité de la défaite de notre équipe de France hier au soir et d’abord, parce que voulant faire des résultats de cette équipe une victoire pour lui tout seul, il n’a pas su déléguer le jeu à ses joueurs qui, de ce fait, n’ont jamais pu se libérer de SA pression. Pour un coach, si ce n’est pas le premier et le plus grave des échecs, il n’y en a plus.
Alors quand son copain, Nicolas Sarkozy, nous dit en début de match qu’il attend son ami pour aller faire son jogging avec lui, le plus rapidement possible parce qu’il lui manque, de grâce, Monsieur Bernard Laporte, ne passez pas par la case « Secrétariat à la Jeunesse et aux Sports », car d’un tel coach, la France n’a pas besoin.
Personne ne vous reprocherait de ne pas faire gagner le Prix de l’Arc de Triomphe à un cheval boiteux, mais ici en l’espèce, tous ces joueurs que vous aviez choisis, avaient tous et ils nous l’ont montré à de trop rares occasions hier au soir, des potentialités bien supérieures à ce que votre manière de les motiver les a conduit à nous montrer collectivement.
Et vous Monsieur Nicolas Sarkozy de grâce, sachez déléguer et faire confiance, tant aux Ministres que vous avez « sélectionnés » qu’aux français dont vous avez sollicité le mandat de les gouverner. Arrêtez de vouloir faire le travail à leur place. LAISSEZ LES FAIRE et si notre entreprise doit réussir ce sera eux qui l’auront réussie. Quelle fatuité que de penser un seul instant, vouloir tout faire tout seul. Et ce n’est pas ce que les français vous demandent. Ils veulent que vous leur fassiez simplement confiance et que vous arrêtiez enfin de vouloir écrire à l’avance toutes les « combinaisons » d’un jeu qui leur appartient.
C’est avant tout cela le libéralisme.
Nous avons, le 7 sept 2007, assisté à plus qu’un match de rugby. L’événement était trop symptomatique pour être laissé dans l’anecdote du temps qui passe.
A quel match, nous ont convié les quinze rugbymen qui représentaient la France hier au soir ? Au match d’un groupe d’hommes, paralysés par la peur, et qui n’ont, sauf à de rares moments, montré tous leurs potentiels. Alors pour faire court, merci aux préparateurs physiques de l’équipe de France, merci aux joueurs pour leurs talents, mais zéro pointé à Bernard Laporte pour n’avoir pas su amener ce groupe au jour « J » dans la plénitude de son expression collective.
Quel rapport cette défaite peut-elle avoir avec un blog libertarien ? Mais tout et c’est justement un nouvel exemple de notre France actuelle, surtout de celle que le nouveau Tex Avery de la politique française, j’ai nommé Nicolas Sarkozy, veut pour la France. Hier au soir, du moins en ce qui me concerne, c’est à une nouvelle défaite et de Bernard Laporte et de Nicolas Sarkozy lui-même à laquelle j’ai assisté.
Si la télévision nous a montré souvent l’hystérie de Bernard Laporte dans les vestiaires, hier au soir nous l’avons vu trop souvent excité et rouge de colère derrière son écran de « contrôle ». Mais n’était-il pas fâché avant toute chose, d’abord contre lui-même ? Et pour le petit Nicolas qui, avant la rencontre, faisait de ce match « que l’on ne pouvait pas perdre » l’exemple de la France en marche vers un redressement « collectif » auquel il invitait tous les français à s’associer, quel « flop » !
Et sur le terrain, j’ai avant tout ressenti, sur les épaules de tous nos joueurs cette peur de mal faire, cette peur de ne pas savoir « plaire » à Monsieur Laporte, nouveau Deus ex machina, aujourd’hui du rugby, demain de la jeunesse et des sports dans notre pays ?
Arrêtons ce volontarisme « virtuel », dans le rugby comme d’ailleurs en France, la première des vertus d’un « guide » c’est d’abord de savoir permettre à tous les individus qui composent « l’équipe » de s’exprimer pleinement. Et pour cela il faut d’abord leur faire confiance et qu’ils sachent, une fois sur le terrain, s’exprimer pleinement. Mais cette confiance se traduit d’abord par un « transfert » de responsabilités qui se manifeste par la quiétude du sélectionneur sur son banc à partir du moment où l’équipe entre sur le terrain. Les trépignements de Bernard Laporte, hier au soir, m’ont montré tout le contraire.
Et il en a été de la résultante de cette équipe hier au soir, comme pour la France quand il s’agit de la croissance, elles n’ont pas été au rendez-vous souhaités par nos « guides ». Et ils ont beau « rager » du haut de leurs tribunes, elles ne peuvent pas être là demain tant que ce « transfert de responsabilités » sur les seuls individus, soit qui sont sur le terrain, soit qui s’expriment individuellement dans leur travail n’aura pas eu lieu. Le collectif, c’est la résultante des actions de chacun des participants, comme la croissance c’est la résultante du travail de chacun. Ce n’est rien comprendre à l’économie que de mettre là encore la charrue avant les bœufs !
Et c’est bien Bernard Laporte, dans ces conditions, qui porte l’entière responsabilité de la défaite de notre équipe de France hier au soir et d’abord, parce que voulant faire des résultats de cette équipe une victoire pour lui tout seul, il n’a pas su déléguer le jeu à ses joueurs qui, de ce fait, n’ont jamais pu se libérer de SA pression. Pour un coach, si ce n’est pas le premier et le plus grave des échecs, il n’y en a plus.
Alors quand son copain, Nicolas Sarkozy, nous dit en début de match qu’il attend son ami pour aller faire son jogging avec lui, le plus rapidement possible parce qu’il lui manque, de grâce, Monsieur Bernard Laporte, ne passez pas par la case « Secrétariat à la Jeunesse et aux Sports », car d’un tel coach, la France n’a pas besoin.
Personne ne vous reprocherait de ne pas faire gagner le Prix de l’Arc de Triomphe à un cheval boiteux, mais ici en l’espèce, tous ces joueurs que vous aviez choisis, avaient tous et ils nous l’ont montré à de trop rares occasions hier au soir, des potentialités bien supérieures à ce que votre manière de les motiver les a conduit à nous montrer collectivement.
Et vous Monsieur Nicolas Sarkozy de grâce, sachez déléguer et faire confiance, tant aux Ministres que vous avez « sélectionnés » qu’aux français dont vous avez sollicité le mandat de les gouverner. Arrêtez de vouloir faire le travail à leur place. LAISSEZ LES FAIRE et si notre entreprise doit réussir ce sera eux qui l’auront réussie. Quelle fatuité que de penser un seul instant, vouloir tout faire tout seul. Et ce n’est pas ce que les français vous demandent. Ils veulent que vous leur fassiez simplement confiance et que vous arrêtiez enfin de vouloir écrire à l’avance toutes les « combinaisons » d’un jeu qui leur appartient.
C’est avant tout cela le libéralisme.
samedi, août 04, 2007
Avancer à visage découvert et certain du bien fondé des mesures
Les syndicats parlent de bâtir de nouveaux mouvements de protestation pour contester les mesures gouvernementales qui les empêcheraient de se servir pleinement de leur « bâton » qui est la grève des services publics et la paralysie de la France qui travaille.
On commence à entrer dans le vif du sujet, puisque j’ai toujours pensé que le premier signe d’une vraie réforme passerait par le signe fort que donneront alors les syndicats qui descendront dans la rue et finiront par appeler à la grève générale.
Nous y sommes. Est-ce malin de faire cela en juillet-août pour que les syndicats ne puissent pas mobiliser leurs troupes immédiatement ? Est-ce de la « haute stratégie politique ». Le CPE a bien été voté par le Parlement et pourtant c’est bien dans les semaines qui ont suivies que les syndicats ont mis la pagaille. Et que la loi a été changée.
Les français attendaient-ils que des réformes majeures comme celle qui vient de toucher le « droit de grève » passent en catimini ? Et encore les décrets d’application ne sont pas encore en place et de l’eau va couler sous les ponts avant qu’ils le soient. Est-ce que ce vote à la sauvette, juste avant le départ en vacances des députés, compte pour une des réformes promises par le Président Sarkozy.
Je ne vois pas cela ainsi. Il est bien certain que les français attendent du Président – qu’ils ont élu pour cela – un service minimum dans les services publics de transport, car la majorité d’entre eux commence à trouver de plus en plus anormal que des privilégiés comme peuvent l’être ces « tenants » des services dit publics puissent les empêcher d’aller travailler.
Et quand on pousse la réflexion au fond, on s’aperçoit bien vite que s’il y a un service public, il doit être assuré sans exception. Et si nous ne sommes pas dans le cas d’un service public, qu’est-ce qui empêche de le privatiser. Assez d’hypocrisie. Alors maintenir un droit de grève au bénéfice de ceux qui se targuent de concourir à un service public est quelque part contre nature. Il faut qu’à l’aube du XXIème siècle, ceux qui se disent nos représentants élus mettent enfin le « paquet » sur la table.
Le débat doit se faire entre tous les français, pas dans un Parlement de godillots, il n’y aurait là aucune légitimité. Et on voit bien que depuis des décennies cela ne fonctionne pas. Et déboucher sur un référendum populaire. « Les fonctionnaires tenant d’un service public d’état, doivent-ils encore pouvoir faire grève et ne pas rendre, ne seraient-ce qu’un instant, ce service dû au public » ? Et que l’on fasse taire ces représentants syndicaux qui mettent en parallèle les arrêts pour disfonctionnement non voulus (du moins je le crois) et ceux du fait d’une grève décidée par la centrale syndicale ou des agitateurs. Les fonctionnaires de la Police et de l’Armée, déjà, n’ont pas la capacité de ne pas remplir leur mission.
C’est la « mère » de toutes les réformes et Sarkozy n’a certainement pas été mandaté pour nous faire croire qu’il allait faire passer une telle mesure efficace à la fin d’un mois de juillet. Une réforme fiscale pour mettre un impôt supplémentaire en œuvre pour tondre un peu plus le mouton, oui, enlever leur os aux syndicats, il ne faut pas rêver ! Il doit avoir une vue claire sur ce problème et aller au bout de la démarche ou ne rien faire. Cela ne passera pas par des négociations avec les « partenaires sociaux » de la même façon qu’il n’y a pas de négociation entre la victime et le bourreau. Complètement inutile et stérile.
Seul un référendum permettra, comme dans le cas du projet de Constitution de l’UE, à la France d’évoluer sur ce sujet. Nous prendrons le temps qu’il faut pour en débattre et le corps électoral se prononcera avec toute la clairvoyance qu’on lui a reconnu quand il a porté M. Sarkozy à la présidence de la République française. Et il sera souverain.
A moins que notre « démocratie » française ne soit qu’au service de quelques uns et quand cela les arrange. Mais après si le vote conduit à nous faire entrer dans le club des pays de l’Europe chez qui cela se passe déjà, il faudra aussi avoir la même fermeté et clarté du projet pour exiger son application dans les faits.
Les français ont besoin d’un Président qui nous dise clairement là où il va et quand et s’y tienne. Personne ne lui demande de louvoyer et d’essayer de passer entre les gouttes. Surtout s’il veut être suivi .
On commence à entrer dans le vif du sujet, puisque j’ai toujours pensé que le premier signe d’une vraie réforme passerait par le signe fort que donneront alors les syndicats qui descendront dans la rue et finiront par appeler à la grève générale.
Nous y sommes. Est-ce malin de faire cela en juillet-août pour que les syndicats ne puissent pas mobiliser leurs troupes immédiatement ? Est-ce de la « haute stratégie politique ». Le CPE a bien été voté par le Parlement et pourtant c’est bien dans les semaines qui ont suivies que les syndicats ont mis la pagaille. Et que la loi a été changée.
Les français attendaient-ils que des réformes majeures comme celle qui vient de toucher le « droit de grève » passent en catimini ? Et encore les décrets d’application ne sont pas encore en place et de l’eau va couler sous les ponts avant qu’ils le soient. Est-ce que ce vote à la sauvette, juste avant le départ en vacances des députés, compte pour une des réformes promises par le Président Sarkozy.
Je ne vois pas cela ainsi. Il est bien certain que les français attendent du Président – qu’ils ont élu pour cela – un service minimum dans les services publics de transport, car la majorité d’entre eux commence à trouver de plus en plus anormal que des privilégiés comme peuvent l’être ces « tenants » des services dit publics puissent les empêcher d’aller travailler.
Et quand on pousse la réflexion au fond, on s’aperçoit bien vite que s’il y a un service public, il doit être assuré sans exception. Et si nous ne sommes pas dans le cas d’un service public, qu’est-ce qui empêche de le privatiser. Assez d’hypocrisie. Alors maintenir un droit de grève au bénéfice de ceux qui se targuent de concourir à un service public est quelque part contre nature. Il faut qu’à l’aube du XXIème siècle, ceux qui se disent nos représentants élus mettent enfin le « paquet » sur la table.
Le débat doit se faire entre tous les français, pas dans un Parlement de godillots, il n’y aurait là aucune légitimité. Et on voit bien que depuis des décennies cela ne fonctionne pas. Et déboucher sur un référendum populaire. « Les fonctionnaires tenant d’un service public d’état, doivent-ils encore pouvoir faire grève et ne pas rendre, ne seraient-ce qu’un instant, ce service dû au public » ? Et que l’on fasse taire ces représentants syndicaux qui mettent en parallèle les arrêts pour disfonctionnement non voulus (du moins je le crois) et ceux du fait d’une grève décidée par la centrale syndicale ou des agitateurs. Les fonctionnaires de la Police et de l’Armée, déjà, n’ont pas la capacité de ne pas remplir leur mission.
C’est la « mère » de toutes les réformes et Sarkozy n’a certainement pas été mandaté pour nous faire croire qu’il allait faire passer une telle mesure efficace à la fin d’un mois de juillet. Une réforme fiscale pour mettre un impôt supplémentaire en œuvre pour tondre un peu plus le mouton, oui, enlever leur os aux syndicats, il ne faut pas rêver ! Il doit avoir une vue claire sur ce problème et aller au bout de la démarche ou ne rien faire. Cela ne passera pas par des négociations avec les « partenaires sociaux » de la même façon qu’il n’y a pas de négociation entre la victime et le bourreau. Complètement inutile et stérile.
Seul un référendum permettra, comme dans le cas du projet de Constitution de l’UE, à la France d’évoluer sur ce sujet. Nous prendrons le temps qu’il faut pour en débattre et le corps électoral se prononcera avec toute la clairvoyance qu’on lui a reconnu quand il a porté M. Sarkozy à la présidence de la République française. Et il sera souverain.
A moins que notre « démocratie » française ne soit qu’au service de quelques uns et quand cela les arrange. Mais après si le vote conduit à nous faire entrer dans le club des pays de l’Europe chez qui cela se passe déjà, il faudra aussi avoir la même fermeté et clarté du projet pour exiger son application dans les faits.
Les français ont besoin d’un Président qui nous dise clairement là où il va et quand et s’y tienne. Personne ne lui demande de louvoyer et d’essayer de passer entre les gouttes. Surtout s’il veut être suivi .
dimanche, juillet 08, 2007
Sarkozy le Creux !
Dans l’Histoire il y avait eu Alexandre le Grand, Philippe le Bel, Guillaume le Conquérant etc et maintenant en France nous avons Nicolas le Creux !...
Pourquoi attendre 100 jours quand 80 auront suffit à me rendre à l’évidence, les français viennent encore une fois de se faire avoir. Si ce sont d’abord les électeurs de droite qui se sentent floués par Sarkozy, c’est bien toute la France qui va perdre. Et ces beaux parleurs de la politique qui voudraient nous réconcilier avec la démocratie !...
Avant le deuxième tour, le 23 avril dernier, j’avais le sentiment que les mêmes causes produisant, depuis la nuit des temps, les mêmes effets, j’exprimais mon incertitude sur l’ultime choix du ou de la future Présidente de la France, préférant en fin de compte si ce devait être pour nous endormir, l’infirmière en blouse blanche au pantin inconsistant.
Je ne me suis pas fait en cela que des amis parmi ceux de mon camp et ne voulant pour le moins ne pas me fâcher avec ceux qui dans le fond pensaient comme moi, j’ai arrêté – pour eux - de jouer les « oiseaux de mauvais augure ». Il ne fallait pas qu’une seule voix manque à « Sarkozy-la-réforme-de-la-France ».
Maintenant en cette mi-juillet il ne nous a pas fallut 100 jours pour le voir à l’œuvre. Tout laisse à penser qu’un Président – ou un Roi - aussi mauvais que lui, ce n’est même pas un par siècle que l’Histoire de France en a rencontré.
Je laisse mes lecteurs choisir dans le florilège auquel nous avons eu droit déjà depuis ces 80 jours, pour se rendre à l’évidence. Pas un jour sans une nouvelle connerie, mais par contre aucun prémisse de vraie réforme pour la France.
Je ne sais si Ségolène ROYAL, pleine de « bravitude » n’aurait pas été pire pour notre pays, mais j’ai toujours un petit doute qui est de croire qu’elle nous aurait peut-être fait du « blairisme » dont la France à tant besoin et que certaines choses, venant d’une personne étiquetée de gauche, seraient peut-être mieux passées.
Dans le secret de son cabinet privé de l’Elysée, notre « grand communicateur » s’aperçoit tant, que rien ne « passant » de sa politique de réforme auprès des « partenaires sociaux », il importait, pour occuper le terrain et trouver un début de consensus, que de recruter des Lang et Strauss-Kahn pour redresser notre pays et accroître son rayonnement. Après avoir montré aux français qu’il ne faisait confiance ni à son Premier Ministre ni même à ses Ministres qu’il a pourtant choisis, il va encore plus embrouiller l’Europe et laisse filer les pourparlers d’adhésion de la Turquie. ….
Il y a gros à parier que, si au lieu d’avoir écouté son programme et ses discours, les français devaient se prononcer aujourd’hui après lui avoir vu faire ses premiers 80 jours, son fan-club se soit bien étiolé.
Je me demandais pourquoi, dans les premières semaines à l’Elysée, je voyais les représentants de syndicalistes hilares sur le perron du Palais en lui serrant la main. Je comprends mieux maintenant. Ils avaient certainement vu à qui ils allaient avoir à faire durant 5 ans et ne pouvaient faire autrement que de laisser éclater leur joie.
Le problème pour les français de droite restent donc entier. Comment « reprendre la main » et faire enfin une politique de réformes dont nous avons tant besoin.
Et vous tous mes amis qui m’aviez demandé durant la campagne électorale de ne rien faire contre Sarkozy afin de « contrer » la « gauche » que l’on ne pouvait décidément pas laisser gouverner la France, j’espère que vous n’allez pas maintenant « faire l’autruche » et au contraire vous dire que demain plus qu’aux promesses et apparences, c’est aux actes que l’on doit juger les individus.
Pourquoi attendre 100 jours quand 80 auront suffit à me rendre à l’évidence, les français viennent encore une fois de se faire avoir. Si ce sont d’abord les électeurs de droite qui se sentent floués par Sarkozy, c’est bien toute la France qui va perdre. Et ces beaux parleurs de la politique qui voudraient nous réconcilier avec la démocratie !...
Avant le deuxième tour, le 23 avril dernier, j’avais le sentiment que les mêmes causes produisant, depuis la nuit des temps, les mêmes effets, j’exprimais mon incertitude sur l’ultime choix du ou de la future Présidente de la France, préférant en fin de compte si ce devait être pour nous endormir, l’infirmière en blouse blanche au pantin inconsistant.
Je ne me suis pas fait en cela que des amis parmi ceux de mon camp et ne voulant pour le moins ne pas me fâcher avec ceux qui dans le fond pensaient comme moi, j’ai arrêté – pour eux - de jouer les « oiseaux de mauvais augure ». Il ne fallait pas qu’une seule voix manque à « Sarkozy-la-réforme-de-la-France ».
Maintenant en cette mi-juillet il ne nous a pas fallut 100 jours pour le voir à l’œuvre. Tout laisse à penser qu’un Président – ou un Roi - aussi mauvais que lui, ce n’est même pas un par siècle que l’Histoire de France en a rencontré.
Je laisse mes lecteurs choisir dans le florilège auquel nous avons eu droit déjà depuis ces 80 jours, pour se rendre à l’évidence. Pas un jour sans une nouvelle connerie, mais par contre aucun prémisse de vraie réforme pour la France.
Je ne sais si Ségolène ROYAL, pleine de « bravitude » n’aurait pas été pire pour notre pays, mais j’ai toujours un petit doute qui est de croire qu’elle nous aurait peut-être fait du « blairisme » dont la France à tant besoin et que certaines choses, venant d’une personne étiquetée de gauche, seraient peut-être mieux passées.
Dans le secret de son cabinet privé de l’Elysée, notre « grand communicateur » s’aperçoit tant, que rien ne « passant » de sa politique de réforme auprès des « partenaires sociaux », il importait, pour occuper le terrain et trouver un début de consensus, que de recruter des Lang et Strauss-Kahn pour redresser notre pays et accroître son rayonnement. Après avoir montré aux français qu’il ne faisait confiance ni à son Premier Ministre ni même à ses Ministres qu’il a pourtant choisis, il va encore plus embrouiller l’Europe et laisse filer les pourparlers d’adhésion de la Turquie. ….
Il y a gros à parier que, si au lieu d’avoir écouté son programme et ses discours, les français devaient se prononcer aujourd’hui après lui avoir vu faire ses premiers 80 jours, son fan-club se soit bien étiolé.
Je me demandais pourquoi, dans les premières semaines à l’Elysée, je voyais les représentants de syndicalistes hilares sur le perron du Palais en lui serrant la main. Je comprends mieux maintenant. Ils avaient certainement vu à qui ils allaient avoir à faire durant 5 ans et ne pouvaient faire autrement que de laisser éclater leur joie.
Le problème pour les français de droite restent donc entier. Comment « reprendre la main » et faire enfin une politique de réformes dont nous avons tant besoin.
Et vous tous mes amis qui m’aviez demandé durant la campagne électorale de ne rien faire contre Sarkozy afin de « contrer » la « gauche » que l’on ne pouvait décidément pas laisser gouverner la France, j’espère que vous n’allez pas maintenant « faire l’autruche » et au contraire vous dire que demain plus qu’aux promesses et apparences, c’est aux actes que l’on doit juger les individus.
lundi, avril 23, 2007
Que dire, que faire après le 22 avril 2007 ?
Que dire, que faire dans ce jeu de « qui perd gagne » ?
S’il est bien certain d’une chose, c’est que contrairement à tout ce que les indicateurs économiques nous montraient depuis plusieurs années, les français et dans une majorité de plus de 75% d’entre eux, sont satisfaits de leur classe politique actuelle. Ils viennent de le montrer on ne peut plus clairement en votant pour 75% pour les partis de gouvernement que sont l’UMP, le PS et l’ UDF.
J’ai pu croire un moment qu’il y avait une efficace manipulation médiatique, mais si ce n’est au printemps 2004, dans la longue période précédant le 29 mai 2005, cette même classe de politiciens ainsi que les médias et à plus de 92%, ont appelé ces mêmes électeurs à voter OUI et c’est un NON qu’ils sont su dire, alors, contre toutes leurs attentes.
Et hier en ce 22 avril 2007, même si ce n’était pas au cœur de la campagne, tous les électeurs savaient bien que l’Europe Communautaire qui « faisait » 80% des lois qui nous régissent avait, dans ces trois lauréats du jour, des défenseurs inconditionnels à réparer l’inconvenance du peuple français et qu’ils allaient raccrocher les wagons et avec une combine parlementaire, dans les meilleurs délais possible.
Et le peuple français était en cela tout à fait dans l’acte de repentance. Repentance pour notre passé colonial, repentance pour ne pas assez s’occuper des laissés pour le compte de notre société, repentance pour n’avoir pas compris que notre avenir, à nous les français, était dans les mains de Bruxelles. Repentance de ne pas comprendre que la démocratie c’est de « choisir » entre bonnet blanc ou blanc bonnet ou encore plus fort, comme aurait dit Coluche, : « entre les deux » !
Pour que Sarkozy gagne, à n’en pas douter, il lui faut conquérir « l’électorat qui a voté pour Bayrou », il va falloir pour cela « gauchir » son « programme ». Pour que Royal gagne et elle l’a bien vu dans ses mouvements de yoyo des sondages socialistes, il faut qu’elle se droitise encore plus. On n’y voyait plus clair dans ce que défendait l’un ou l’autre, là, maintenant au niveau programme, les français vont voter la tête dans un sac !
Mais ce n’est pas complètement sûr. Car dans la mesure où le niveau « choix de société » semble à tous les français et au moins dans les actes - avec les corrections que savent donner dans la rue quand cela ne leur plait pas, la gauche – il n’y a plus de différences et c’est sur la personnalité des candidats et l’usure médiatique que cette élection risque fort bien de se jouer.
A ma droite, un Nicolas Sarkozy, qui s’est attaqué depuis 5 ans avec beaucoup de réussite, à la violence dans les banlieues et dans les stades, à la vie chère dans les super-marchés après le passage à l’euro, au problème du chômage et des retraites et qui monopolise les médias et les plus grandes arênes de France pour « fustiger » tout et son contraire. Qui est « l’ennemi » de Chirac qui lui apporte son soutien, aimé unanimement de la jeunesse et qui, en un mot, réussit tout ce qu’il entreprend.
A ma gauche, une femme du même âge que lui, inconnue du grand public il y a un an encore et qui montre, dans sa rivalité avec les éléphants de son parti, que, si elle est moins compétente qu’eux sur beaucoup de problèmes, sait s’entourer et le cas échéant faire le ménage dans son entourage et être pugnace. Qui, même si elle n’en fait qu’à sa tête parce qu’elle juge que c’est bon pour la France, dit écouter les français et sait les materner. Et cela dans un moment où les français veulent de l’apaisement dans les relations entre leurs politiciens, mais surtout voir des solutions pragmatiques et qui marchent.
Dans les deux cas, chacun des deux candidats, nous disent et de long en large comment donner, qui le calmant, qui le somnifère aux français mais pas comment remettre la France au travail et sur le chemin de la croissance qui est le seul propre à la guérison. La chirurgie qui voudrait que l’on donne une bonne dose de libéralisme à notre économie, personne ne veut, du moins chez ces deux là, l’entreprendre. On en est donc réduit aux soins palliatifs et dans ces conditions, je préfère en définitive et pour mon compte, l’infirmière en blouse blanche que l’ « homme-médecine » qui gesticule, c’est moins fatiguant à regarder !
Alors attendons avec confiance, le choix des français pour le 6 mai prochain, car c’est le 7 de ce même mois que tout restera à faire.
S’il est bien certain d’une chose, c’est que contrairement à tout ce que les indicateurs économiques nous montraient depuis plusieurs années, les français et dans une majorité de plus de 75% d’entre eux, sont satisfaits de leur classe politique actuelle. Ils viennent de le montrer on ne peut plus clairement en votant pour 75% pour les partis de gouvernement que sont l’UMP, le PS et l’ UDF.
J’ai pu croire un moment qu’il y avait une efficace manipulation médiatique, mais si ce n’est au printemps 2004, dans la longue période précédant le 29 mai 2005, cette même classe de politiciens ainsi que les médias et à plus de 92%, ont appelé ces mêmes électeurs à voter OUI et c’est un NON qu’ils sont su dire, alors, contre toutes leurs attentes.
Et hier en ce 22 avril 2007, même si ce n’était pas au cœur de la campagne, tous les électeurs savaient bien que l’Europe Communautaire qui « faisait » 80% des lois qui nous régissent avait, dans ces trois lauréats du jour, des défenseurs inconditionnels à réparer l’inconvenance du peuple français et qu’ils allaient raccrocher les wagons et avec une combine parlementaire, dans les meilleurs délais possible.
Et le peuple français était en cela tout à fait dans l’acte de repentance. Repentance pour notre passé colonial, repentance pour ne pas assez s’occuper des laissés pour le compte de notre société, repentance pour n’avoir pas compris que notre avenir, à nous les français, était dans les mains de Bruxelles. Repentance de ne pas comprendre que la démocratie c’est de « choisir » entre bonnet blanc ou blanc bonnet ou encore plus fort, comme aurait dit Coluche, : « entre les deux » !
Pour que Sarkozy gagne, à n’en pas douter, il lui faut conquérir « l’électorat qui a voté pour Bayrou », il va falloir pour cela « gauchir » son « programme ». Pour que Royal gagne et elle l’a bien vu dans ses mouvements de yoyo des sondages socialistes, il faut qu’elle se droitise encore plus. On n’y voyait plus clair dans ce que défendait l’un ou l’autre, là, maintenant au niveau programme, les français vont voter la tête dans un sac !
Mais ce n’est pas complètement sûr. Car dans la mesure où le niveau « choix de société » semble à tous les français et au moins dans les actes - avec les corrections que savent donner dans la rue quand cela ne leur plait pas, la gauche – il n’y a plus de différences et c’est sur la personnalité des candidats et l’usure médiatique que cette élection risque fort bien de se jouer.
A ma droite, un Nicolas Sarkozy, qui s’est attaqué depuis 5 ans avec beaucoup de réussite, à la violence dans les banlieues et dans les stades, à la vie chère dans les super-marchés après le passage à l’euro, au problème du chômage et des retraites et qui monopolise les médias et les plus grandes arênes de France pour « fustiger » tout et son contraire. Qui est « l’ennemi » de Chirac qui lui apporte son soutien, aimé unanimement de la jeunesse et qui, en un mot, réussit tout ce qu’il entreprend.
A ma gauche, une femme du même âge que lui, inconnue du grand public il y a un an encore et qui montre, dans sa rivalité avec les éléphants de son parti, que, si elle est moins compétente qu’eux sur beaucoup de problèmes, sait s’entourer et le cas échéant faire le ménage dans son entourage et être pugnace. Qui, même si elle n’en fait qu’à sa tête parce qu’elle juge que c’est bon pour la France, dit écouter les français et sait les materner. Et cela dans un moment où les français veulent de l’apaisement dans les relations entre leurs politiciens, mais surtout voir des solutions pragmatiques et qui marchent.
Dans les deux cas, chacun des deux candidats, nous disent et de long en large comment donner, qui le calmant, qui le somnifère aux français mais pas comment remettre la France au travail et sur le chemin de la croissance qui est le seul propre à la guérison. La chirurgie qui voudrait que l’on donne une bonne dose de libéralisme à notre économie, personne ne veut, du moins chez ces deux là, l’entreprendre. On en est donc réduit aux soins palliatifs et dans ces conditions, je préfère en définitive et pour mon compte, l’infirmière en blouse blanche que l’ « homme-médecine » qui gesticule, c’est moins fatiguant à regarder !
Alors attendons avec confiance, le choix des français pour le 6 mai prochain, car c’est le 7 de ce même mois que tout restera à faire.
mardi, avril 10, 2007
Au secours, ils n'en ont pas !
Au secours, ils n’ont pas de programmes !
Aucun des candidats à l’élection présidentielle et à moins de 15 jours de ce premier tour n’a de programme politique précis, ni de vision pour la France clairement exprimée.
Bien sur je ne parle pas des 2 ou 3 huluberlus pour qui le seul discours télévisuel consiste à faire comme si dans notre monde occidental le droit de propriété n’existait pas. C’est à celui qui nationalise les banques en n’en donnant le prix qu’aux petits porteurs mais pas aux fonds de pensions américains profiteurs et l’autre, nouveau Robin des Bois, qui veut « taxer » 10 % des profits des entreprises du Quakekarante pour remettre 300 euros de plus sur chaque feuille de paye ! Et dire que les parrainages, qui nous ont tenu lieu de campagne durant deux bons mois, étaient là pour éviter d’avoir, dans une « telle » élection, des fantaisistes comme il y a une trentaine d’années. Mais eux au moins, ils nous faisaient rire et n’étaient pas des voleurs !
Les dirigeants actuels de la France qui ont organisé ces élections nous prennent-ils vraiment pour des cons ?
Alors revenons aux « programmes » de nos trois ténors donnés comme « présidentiabile », c’est chaque jour qui passe de nouveaux ajouts ou soustractions en fonction de l’actualité du moment. Et puis il faut bien jouer la comédie jusqu’au bout et être « cohérent » avec le public. « Oui mais combien il coûte le programme de la Ségolène ? » : 75 milliards ! « et celui de Nicolas ? 50 milliards seulement ? mais il coûte moins cher ma bonne dame ! ». « Bien sûr vous avez celui de François à 25 milliards et qui ne coûte pas 25 milliards en réalité parce que ce sont les autres qui vont les payer ah ah ah … » . « Mais dans ces programmes qu’est-ce qu’on y trouve, Madame Michu ? » Et bien vous y trouvez un petit milliard pour payer le droit au logement opposable qui a été demandé par les copains de Don Quichotte et puis les salaires des 120.000 jeunes sans qualification (pas du tout de la faute de notre éducation Naaaaaationale) qui vont aller travailler gratuitement dans les entreprises de moins de 19,5 employés. Oui, oui et si après trois premiers mois, le djeune n’est pas engagé correctement par son profiteur de « patron » et bien, il faudra que le patron rembourse les trois mois de salaire que le djeune aura empoché, peut-être à ne rien faire. J’espère de tout cœur et qu’en plus de ces trois mois « d’embauche » « il » aura des « droits » à toucher, après coup, des allocations de chooooomage ! etc etc
De qui se moque-t-on ! Et le projet de société clair net et précis. Et la vision pour la France, bordel !.... Si dans la plus petite des PME de notre pays, un Directeur Général « sortait » comme plan quinquennal une « telle moquerie » il y a fort à parier qu’il se ferait révoquer rapidement par les actionnaires.
Et ce sont ces guignols, alors que la France ne s’est rarement aussi mal portée, qui veulent se faire élire à la Présidence de la République française (pays de plus de 60 millions d’habitants ! n.d.l.r.) ? Mais nous n’avions pas vu depuis longtemps une aussi piètre campagne. C’est bien la preuve que ces trois ténors, aussi, sont des mauvais et que non seulement ils n’ont – et leurs équipes avec eux – aucune capacité non seulement à redresser la France, mais à devenir et aucun d’entre eux, Président d’un pays comme le nôtre.
Si d’aventure un de ces lascars arrivait à la Magistrature suprême, c’est la certitude d’avoir une législature encore plus mauvaise que celle que nous venons de vivre. Faite d’immobilisme, de renoncements et d’augmentation de la dette ! Quand est-ce que tout cela va finir ?
Aucun des candidats à l’élection présidentielle et à moins de 15 jours de ce premier tour n’a de programme politique précis, ni de vision pour la France clairement exprimée.
Bien sur je ne parle pas des 2 ou 3 huluberlus pour qui le seul discours télévisuel consiste à faire comme si dans notre monde occidental le droit de propriété n’existait pas. C’est à celui qui nationalise les banques en n’en donnant le prix qu’aux petits porteurs mais pas aux fonds de pensions américains profiteurs et l’autre, nouveau Robin des Bois, qui veut « taxer » 10 % des profits des entreprises du Quakekarante pour remettre 300 euros de plus sur chaque feuille de paye ! Et dire que les parrainages, qui nous ont tenu lieu de campagne durant deux bons mois, étaient là pour éviter d’avoir, dans une « telle » élection, des fantaisistes comme il y a une trentaine d’années. Mais eux au moins, ils nous faisaient rire et n’étaient pas des voleurs !
Les dirigeants actuels de la France qui ont organisé ces élections nous prennent-ils vraiment pour des cons ?
Alors revenons aux « programmes » de nos trois ténors donnés comme « présidentiabile », c’est chaque jour qui passe de nouveaux ajouts ou soustractions en fonction de l’actualité du moment. Et puis il faut bien jouer la comédie jusqu’au bout et être « cohérent » avec le public. « Oui mais combien il coûte le programme de la Ségolène ? » : 75 milliards ! « et celui de Nicolas ? 50 milliards seulement ? mais il coûte moins cher ma bonne dame ! ». « Bien sûr vous avez celui de François à 25 milliards et qui ne coûte pas 25 milliards en réalité parce que ce sont les autres qui vont les payer ah ah ah … » . « Mais dans ces programmes qu’est-ce qu’on y trouve, Madame Michu ? » Et bien vous y trouvez un petit milliard pour payer le droit au logement opposable qui a été demandé par les copains de Don Quichotte et puis les salaires des 120.000 jeunes sans qualification (pas du tout de la faute de notre éducation Naaaaaationale) qui vont aller travailler gratuitement dans les entreprises de moins de 19,5 employés. Oui, oui et si après trois premiers mois, le djeune n’est pas engagé correctement par son profiteur de « patron » et bien, il faudra que le patron rembourse les trois mois de salaire que le djeune aura empoché, peut-être à ne rien faire. J’espère de tout cœur et qu’en plus de ces trois mois « d’embauche » « il » aura des « droits » à toucher, après coup, des allocations de chooooomage ! etc etc
De qui se moque-t-on ! Et le projet de société clair net et précis. Et la vision pour la France, bordel !.... Si dans la plus petite des PME de notre pays, un Directeur Général « sortait » comme plan quinquennal une « telle moquerie » il y a fort à parier qu’il se ferait révoquer rapidement par les actionnaires.
Et ce sont ces guignols, alors que la France ne s’est rarement aussi mal portée, qui veulent se faire élire à la Présidence de la République française (pays de plus de 60 millions d’habitants ! n.d.l.r.) ? Mais nous n’avions pas vu depuis longtemps une aussi piètre campagne. C’est bien la preuve que ces trois ténors, aussi, sont des mauvais et que non seulement ils n’ont – et leurs équipes avec eux – aucune capacité non seulement à redresser la France, mais à devenir et aucun d’entre eux, Président d’un pays comme le nôtre.
Si d’aventure un de ces lascars arrivait à la Magistrature suprême, c’est la certitude d’avoir une législature encore plus mauvaise que celle que nous venons de vivre. Faite d’immobilisme, de renoncements et d’augmentation de la dette ! Quand est-ce que tout cela va finir ?
lundi, avril 09, 2007
Oui, Jean-Marie Le Pen est un libéral
Il a fallu que l’on en arrive à cette campagne présidentielle de 2007 pour enfin comprendre que l’ostracisme haineux contre Jean-Marie Le Pen, de la part d’abord de toute la gauche, provenait du fait qu’il était fondamentalement libéral. Ce n’est pas facile d’ouvrir les yeux quand tout ce que l’on entend va à l’encontre même d’une intuition persistante.
Et c’est bien cela, Jean-Marie Le Pen est un libéral. Fait-il, sans le savoir, du libéralisme comme Monsieur Jourdain faisait de la prose ou bien n’est-il pas bon pour lui de se recommander des idées libérales dans notre pays ? Mais ce qui importe aujourd’hui, c’est que son sentiment profond soit le recours à des valeurs libérales pour commencer à sortir notre pays de l’ornière qui est en train de la paralyser.
Personne, même parmi ses détracteurs, ne conteste que Jean-Marie Le Pen sur ces dernières décades, ne se soit pas souvent trompé dans ses analyses de la situation de notre pays. Et aujourd’hui quelles solutions propose t-il en priorité pour nous dans son programme ? D’abord de réduire drastiquement le rôle de l’Etat pour alléger la contribution fiscale des individus et des entreprises, ensuite de laisser aux individus une plus grande part des revenus de leur travail et de réserver la solidarité de notre collectivité nationale en priorité aux français. Je ne crois pas, dans l’état qui est celui de la France du moment, qu’un Frédéric Bastiat l’ai en cela désavoué.
Et si la France a été le berceau du libéralisme, il y a plus de deux siècles, c’est que ce bon sens c’est bien celui des « lumières » et celui du vrai progrès social. Revenir à ces valeurs et tourner le dos à cette gangrène de notre société qu’est la sociale-démocratie, c’est ce qu’attendent les français et consciemment ou non, les français commencent, de plus en plus nombreux, à se rallier à ce bon sens. Si moins d’Etat et le retour à la primauté de l’individu en recommençant à lui allouer une plus grande partie de son travail est compréhensible par les libéraux comme étant des valeurs d’essences libérales, la fermeture des frontières, le nationalisme, la préférence nationale sont des traits qui leur semblent antinomiques de leurs valeurs. C’est qu’ils ont mal compris ce qui se passe actuellement sur notre planète.
Si Bastiat à toujours défendu la libre circulation des marchandises et des personnes il y a plus d’un siècle et demi, c’est dans un tout autre contexte. Ce qui doit proscrire aujourd’hui, sauf à ne rien comprendre à l’économie, la libre circulation des marchandises en particulier, ce sont les couvertures sociales que notre Etat accorde trop généreusement à toute sa collectivité. Sans aides étatiques aux individus, vous pouvez, sans autres, laisser entrer sur un territoire des marchandises à un coût moindre pour que la population en profite et qu’une « saine » concurrence s’impose. Dans le cas où les marchandises d’un territoire sont considérablement surenchéries par des coûts sociaux qu’on leur fait supporter, c’est une hérésie économique.
Je n’en veux pour preuve, que ceux qui défendent un tel projet nous disent dans le même temps que de ce fait, les coûts du travail des pays actuels à bas salaires vont avoir tendance à augmenter dans notre mondialisation pour rejoindre les nôtres. Jamais ils ne nous parlent ( ce n‘est pas électoralement valorisant) que si nous ne baissons pas drastiquement nos coûts salariaux en attendant, c’est notre société qui a une position intenable. C’est ce à quoi l’on assiste. Et cet état de fait d’accepter sur notre territoire des produits manufacturés sans droits de douanes en provenance de pays tiers n’a de contrepartie que dans la capacité de nos grosses sociétés à leur vendre Airbus, TGV et autres centrales nucléaires, mais quel gâchis pour le reste de notre tissu économique.
Le Pen voudrait d’autre part réserver en priorité aux français les fruits de notre épargne collective et les prestations fournies par la France. Est-il en cela raciste ? Est-il en cela xénophobe ? C’est vraiment de la courte vue, ou plutôt de la désinformation de la part de ses ennemis. Je n’y vois là que la simple défense de la propriété privée. Car enfin si l’individu est la base de l’entité en matière de travail, la famille le réceptacle privilégié où doit s’exercer la solidarité et le gage de la « survie » et de la pérennité d’une lignée, la collectivité française est la propriété privée de tous ceux qui ont mis en commun, générations après générations, des biens à leur seul usage. Que les gauchistes combattent ceci je veux bien l’admettre, mais que les libéraux ne puissent pas y voir plus clair en l’espèce, montre bien qu’ils sont encore sous l’emprise d’une manipulation de leur libre appréciation.
Oui et tous ceux, de plus en plus nombreux, qui vont voter pour Jean-Marie Le Pen le feront car les valeurs qu’il entend défendre, sont des valeurs qui privilégient avant tout l’individu contre un collectivisme outrancier. Seront-ils conscients qu’en cela ils voteront pour les idées libérales qui ont été depuis des siècles des valeurs profondément ancrées dans notre inconscient collectif ? Il ne restera plus, après cette élection, qu’à une nouvelle classe de politiciens à entreprendre la libéralisation de notre économie, pour recommencer à produire des richesses. Je fais confiance en cela aux français et à leur génie.
Et c’est bien cela, Jean-Marie Le Pen est un libéral. Fait-il, sans le savoir, du libéralisme comme Monsieur Jourdain faisait de la prose ou bien n’est-il pas bon pour lui de se recommander des idées libérales dans notre pays ? Mais ce qui importe aujourd’hui, c’est que son sentiment profond soit le recours à des valeurs libérales pour commencer à sortir notre pays de l’ornière qui est en train de la paralyser.
Personne, même parmi ses détracteurs, ne conteste que Jean-Marie Le Pen sur ces dernières décades, ne se soit pas souvent trompé dans ses analyses de la situation de notre pays. Et aujourd’hui quelles solutions propose t-il en priorité pour nous dans son programme ? D’abord de réduire drastiquement le rôle de l’Etat pour alléger la contribution fiscale des individus et des entreprises, ensuite de laisser aux individus une plus grande part des revenus de leur travail et de réserver la solidarité de notre collectivité nationale en priorité aux français. Je ne crois pas, dans l’état qui est celui de la France du moment, qu’un Frédéric Bastiat l’ai en cela désavoué.
Et si la France a été le berceau du libéralisme, il y a plus de deux siècles, c’est que ce bon sens c’est bien celui des « lumières » et celui du vrai progrès social. Revenir à ces valeurs et tourner le dos à cette gangrène de notre société qu’est la sociale-démocratie, c’est ce qu’attendent les français et consciemment ou non, les français commencent, de plus en plus nombreux, à se rallier à ce bon sens. Si moins d’Etat et le retour à la primauté de l’individu en recommençant à lui allouer une plus grande partie de son travail est compréhensible par les libéraux comme étant des valeurs d’essences libérales, la fermeture des frontières, le nationalisme, la préférence nationale sont des traits qui leur semblent antinomiques de leurs valeurs. C’est qu’ils ont mal compris ce qui se passe actuellement sur notre planète.
Si Bastiat à toujours défendu la libre circulation des marchandises et des personnes il y a plus d’un siècle et demi, c’est dans un tout autre contexte. Ce qui doit proscrire aujourd’hui, sauf à ne rien comprendre à l’économie, la libre circulation des marchandises en particulier, ce sont les couvertures sociales que notre Etat accorde trop généreusement à toute sa collectivité. Sans aides étatiques aux individus, vous pouvez, sans autres, laisser entrer sur un territoire des marchandises à un coût moindre pour que la population en profite et qu’une « saine » concurrence s’impose. Dans le cas où les marchandises d’un territoire sont considérablement surenchéries par des coûts sociaux qu’on leur fait supporter, c’est une hérésie économique.
Je n’en veux pour preuve, que ceux qui défendent un tel projet nous disent dans le même temps que de ce fait, les coûts du travail des pays actuels à bas salaires vont avoir tendance à augmenter dans notre mondialisation pour rejoindre les nôtres. Jamais ils ne nous parlent ( ce n‘est pas électoralement valorisant) que si nous ne baissons pas drastiquement nos coûts salariaux en attendant, c’est notre société qui a une position intenable. C’est ce à quoi l’on assiste. Et cet état de fait d’accepter sur notre territoire des produits manufacturés sans droits de douanes en provenance de pays tiers n’a de contrepartie que dans la capacité de nos grosses sociétés à leur vendre Airbus, TGV et autres centrales nucléaires, mais quel gâchis pour le reste de notre tissu économique.
Le Pen voudrait d’autre part réserver en priorité aux français les fruits de notre épargne collective et les prestations fournies par la France. Est-il en cela raciste ? Est-il en cela xénophobe ? C’est vraiment de la courte vue, ou plutôt de la désinformation de la part de ses ennemis. Je n’y vois là que la simple défense de la propriété privée. Car enfin si l’individu est la base de l’entité en matière de travail, la famille le réceptacle privilégié où doit s’exercer la solidarité et le gage de la « survie » et de la pérennité d’une lignée, la collectivité française est la propriété privée de tous ceux qui ont mis en commun, générations après générations, des biens à leur seul usage. Que les gauchistes combattent ceci je veux bien l’admettre, mais que les libéraux ne puissent pas y voir plus clair en l’espèce, montre bien qu’ils sont encore sous l’emprise d’une manipulation de leur libre appréciation.
Oui et tous ceux, de plus en plus nombreux, qui vont voter pour Jean-Marie Le Pen le feront car les valeurs qu’il entend défendre, sont des valeurs qui privilégient avant tout l’individu contre un collectivisme outrancier. Seront-ils conscients qu’en cela ils voteront pour les idées libérales qui ont été depuis des siècles des valeurs profondément ancrées dans notre inconscient collectif ? Il ne restera plus, après cette élection, qu’à une nouvelle classe de politiciens à entreprendre la libéralisation de notre économie, pour recommencer à produire des richesses. Je fais confiance en cela aux français et à leur génie.
dimanche, mars 25, 2007
Désinformation et manipulation
Ce matin dans le journal « Le matin dimanche » du 25 mars 2007, journal dominical de la suisse romande, une manchette : « Près de 65.000 français de suisse, aux urnes » !....
Dans les 6 cantons francophones suisses, source consulaire de Genève, ce sont plus de 40.000 français qui viennent ces 5 dernières années de s’inscrire sur les listes électorales. 23.000 inscrits en 2002 et 63.592 à fin février 2007, date limite d’inscription.
Un peu d’arithmétique avec des hypothèses de bon sens. La Suisse compte 26 cantons et les 20 qui restent, allemaniques ou italiens, je veux bien que les français ne s’y installent pas volontiers, mais il y en a. Qu’un certain nombre des nouvellement inscrits, aient résidés en Suisse postérieurement sans s’être fait inscrire pour le faire maintenant, soit. Mais cela est largement compensé par ceux qui s’y sont installés ces dernières années sans y être inscrits à ce jour, j’en suis.
Et puis il y a ceux qui quittent la France et ne veulent même plus y voter, c’est principalement à cela que sert l’inscription sur les listes électorales du consulat du pays de résidence, pour les expatriés. On peut donc affirmer que c’est plus de 20 personnes en age de voter et par jour, qui sont venues s’installer en Suisse romande. Combien à l’échelle de la Suisse toute entière, combien en Belgique francophone, en Angleterre ou aux Etats-Unis pour ne citer que ceux-là.
Il me semble que nous sommes loin du discours officiel qui voudrait faire croire qu’un seul contribuable par jour, quitterait la France. C’est sur que si l’on met la barre juste en dessous du patrimoine de la 365ème personne la plus riche chaque année pour lui donner le qualificatif de « contribuable », il n’y a pas désinformation. Mais ces expatriés récents, qui sont-ils ? Salariés qualifiés ou jeunes diplômés qui vont chercher en dehors de France du travail, retraités qui vont passer sous d’autres cieux une retraite paisible qu’ils ne trouvent plus en France etc. Mais en tout état de cause, toute une masse d’argent dans la consommation ou les contributions qui ne participera plus à la croissance que la France recherche tant.
Donc pour savoir si c’est 1 contribuable par jour ou plutôt 100 et plus, qui quittent la France tous les jours, il n’y a qu’à s’en référer aux statistiques tenues par le Trésor Public, puisqu’il importe lorsque l’on n’est plus contribuable quelque part d’y signaler son départ pour une autre commune. Jusqu’en 2005, lorsqu’un contribuable quittait la France il devait remplir un formulaire et solder ses impôts avec le fisc français dans le mois de son expatriation. En 2005, cette formalité a été abrogée. Par « libéralisme » de la part de nos gouvernants ? Je crois plus que cette suppression d’un formulaire administratif soit le fait de la volonté de ceux qui nous gouvernent que personne ne puisse plus, en cette fin de législature, déterminer le nombre des forces vives de la Nation qui s’expatrient, car en cela c’est aussi un vote que 30 à 40.000 contribuables quittent la France chaque année.
Car les français qui restent savent aussi que c’est plus du double, qui chaque année, viennent se mettre à la charge de l’Etat français. Puisqu’illégaux, ils ne peuvent pas travailler pour gagner leur vie, ni vivre de rentes qu’ils n’ont malheureusement pas. Comment dans ces conditions nos candidats à l’élection présidentielle, peuvent-ils mettre sur pied des programmes de gouvernement qui vont coûter des dizaines de milliards, alors que la France va à la faillite. Sauf à « racketer » si cela reste possible les bénéfices des entreprises du CAC 40. Ou comme certains des candidats le soutiennent, l’argent serait trouvé en nationalisant, entre autres, les banques. Mais attention en ne spoliant pas (enjeu électoral oblige) le petit porteur, mais seulement les fonds de pension (américains de préférence) et les « gros » actionnaires. Quand on pense que le parrainage des candidats à une telle élection a pour but de faire barrage aux candidats fantaisistes. Cela à un arrière goût de « vignette automobile pour nos vieux », ne trouvez-vous pas ?
Après la désinformation, la manipulation. Je reste à chaque campagne électorale consternée par la véritable haine d’une certaine partie de la jeunesse en particulier, envers un candidat à la présidentielle, Jean-Marie Le Pen. Et une haine qui ferait, à les entendre, que certains jeunes pourraient jusqu’à donner leurs vies pour que cette personne ne puisse accéder à la magistrature suprême.
Manipulation, car enfin, qu’a-t-on à reprocher de concret à cette personne ? De simples propos racistes, incitation à toute forme de discrimination illégale ? Ce n’est pas le cas puisque c’est contraire à la loi et qu’il serait le premier à être poursuivi et être condamné. A-t-il été déchu de ses droits civiques comme certains des partis de gouvernement actuels ? Est-il sous le coup d’une condamnation à de la prison ?.... Non, puisque le Conseil Constitutionnel a validé sa candidature.
Alors pourquoi tant de haine, bien supérieure d’ailleurs à celle que pourrait engendrer des tortionnaires contemporains comme PolPot ou autres génocidaires africains ou asiatiques ou américains qui tuent encore par dizaines de milliers en 2006 et en ce moment. Ces jeunes lycéens pour ne parler que d’eux, je les ai vu dans la rue au début de l’année 2006. Qui a pu leur inculquer une telle haine ou une telle répulsion à l’encontre d’un homme qui, a été en permanence élu député depuis 50 ans et qui n’a jamais faillit à défendre son pays quand la France a eu besoin de lui et qui a, en chaque moment de sa vie, montré travail, courage personnel et patriotisme. Ce ne peut être que la rumeur et la manipulation des consciences quand, encore ces derniers temps, les instituts de sondages les plus en vue annonçaient sur les chaînes de télévisions, qu’ils refuseraient « par éthique personnelle » de travailler avec lui. Non pas d’ailleurs par un refus de vente condamnable mais en le faisant bénéficier d’un prix dissuasif ! Belle éthique personnelle qui en dit long sur la sincérité des sondages. Manipulation.
Alors quand la jeunesse, pourtant plus prompte que d’autres à monter au créneau pour combattre l’injustice, se laisse autant manipuler insidieusement, quand la désinformation par les médias, l’Etat et toute la classe politique bat son plein, cela ne peut conduire, à mon sens, qu’à la catastrophe pour la France. Lincoln disait d’ailleurs que l’on ne pouvait pas tromper tout le monde tout le temps.
Et dans ces conditions les français dans leur majorité – « tout le monde », dans l’acception de Lincoln – sauront enfin en 2007 et dans le secret de l’isoloir, remettre les choses à l’endroit. Du moins je le souhaite.
Dans les 6 cantons francophones suisses, source consulaire de Genève, ce sont plus de 40.000 français qui viennent ces 5 dernières années de s’inscrire sur les listes électorales. 23.000 inscrits en 2002 et 63.592 à fin février 2007, date limite d’inscription.
Un peu d’arithmétique avec des hypothèses de bon sens. La Suisse compte 26 cantons et les 20 qui restent, allemaniques ou italiens, je veux bien que les français ne s’y installent pas volontiers, mais il y en a. Qu’un certain nombre des nouvellement inscrits, aient résidés en Suisse postérieurement sans s’être fait inscrire pour le faire maintenant, soit. Mais cela est largement compensé par ceux qui s’y sont installés ces dernières années sans y être inscrits à ce jour, j’en suis.
Et puis il y a ceux qui quittent la France et ne veulent même plus y voter, c’est principalement à cela que sert l’inscription sur les listes électorales du consulat du pays de résidence, pour les expatriés. On peut donc affirmer que c’est plus de 20 personnes en age de voter et par jour, qui sont venues s’installer en Suisse romande. Combien à l’échelle de la Suisse toute entière, combien en Belgique francophone, en Angleterre ou aux Etats-Unis pour ne citer que ceux-là.
Il me semble que nous sommes loin du discours officiel qui voudrait faire croire qu’un seul contribuable par jour, quitterait la France. C’est sur que si l’on met la barre juste en dessous du patrimoine de la 365ème personne la plus riche chaque année pour lui donner le qualificatif de « contribuable », il n’y a pas désinformation. Mais ces expatriés récents, qui sont-ils ? Salariés qualifiés ou jeunes diplômés qui vont chercher en dehors de France du travail, retraités qui vont passer sous d’autres cieux une retraite paisible qu’ils ne trouvent plus en France etc. Mais en tout état de cause, toute une masse d’argent dans la consommation ou les contributions qui ne participera plus à la croissance que la France recherche tant.
Donc pour savoir si c’est 1 contribuable par jour ou plutôt 100 et plus, qui quittent la France tous les jours, il n’y a qu’à s’en référer aux statistiques tenues par le Trésor Public, puisqu’il importe lorsque l’on n’est plus contribuable quelque part d’y signaler son départ pour une autre commune. Jusqu’en 2005, lorsqu’un contribuable quittait la France il devait remplir un formulaire et solder ses impôts avec le fisc français dans le mois de son expatriation. En 2005, cette formalité a été abrogée. Par « libéralisme » de la part de nos gouvernants ? Je crois plus que cette suppression d’un formulaire administratif soit le fait de la volonté de ceux qui nous gouvernent que personne ne puisse plus, en cette fin de législature, déterminer le nombre des forces vives de la Nation qui s’expatrient, car en cela c’est aussi un vote que 30 à 40.000 contribuables quittent la France chaque année.
Car les français qui restent savent aussi que c’est plus du double, qui chaque année, viennent se mettre à la charge de l’Etat français. Puisqu’illégaux, ils ne peuvent pas travailler pour gagner leur vie, ni vivre de rentes qu’ils n’ont malheureusement pas. Comment dans ces conditions nos candidats à l’élection présidentielle, peuvent-ils mettre sur pied des programmes de gouvernement qui vont coûter des dizaines de milliards, alors que la France va à la faillite. Sauf à « racketer » si cela reste possible les bénéfices des entreprises du CAC 40. Ou comme certains des candidats le soutiennent, l’argent serait trouvé en nationalisant, entre autres, les banques. Mais attention en ne spoliant pas (enjeu électoral oblige) le petit porteur, mais seulement les fonds de pension (américains de préférence) et les « gros » actionnaires. Quand on pense que le parrainage des candidats à une telle élection a pour but de faire barrage aux candidats fantaisistes. Cela à un arrière goût de « vignette automobile pour nos vieux », ne trouvez-vous pas ?
Après la désinformation, la manipulation. Je reste à chaque campagne électorale consternée par la véritable haine d’une certaine partie de la jeunesse en particulier, envers un candidat à la présidentielle, Jean-Marie Le Pen. Et une haine qui ferait, à les entendre, que certains jeunes pourraient jusqu’à donner leurs vies pour que cette personne ne puisse accéder à la magistrature suprême.
Manipulation, car enfin, qu’a-t-on à reprocher de concret à cette personne ? De simples propos racistes, incitation à toute forme de discrimination illégale ? Ce n’est pas le cas puisque c’est contraire à la loi et qu’il serait le premier à être poursuivi et être condamné. A-t-il été déchu de ses droits civiques comme certains des partis de gouvernement actuels ? Est-il sous le coup d’une condamnation à de la prison ?.... Non, puisque le Conseil Constitutionnel a validé sa candidature.
Alors pourquoi tant de haine, bien supérieure d’ailleurs à celle que pourrait engendrer des tortionnaires contemporains comme PolPot ou autres génocidaires africains ou asiatiques ou américains qui tuent encore par dizaines de milliers en 2006 et en ce moment. Ces jeunes lycéens pour ne parler que d’eux, je les ai vu dans la rue au début de l’année 2006. Qui a pu leur inculquer une telle haine ou une telle répulsion à l’encontre d’un homme qui, a été en permanence élu député depuis 50 ans et qui n’a jamais faillit à défendre son pays quand la France a eu besoin de lui et qui a, en chaque moment de sa vie, montré travail, courage personnel et patriotisme. Ce ne peut être que la rumeur et la manipulation des consciences quand, encore ces derniers temps, les instituts de sondages les plus en vue annonçaient sur les chaînes de télévisions, qu’ils refuseraient « par éthique personnelle » de travailler avec lui. Non pas d’ailleurs par un refus de vente condamnable mais en le faisant bénéficier d’un prix dissuasif ! Belle éthique personnelle qui en dit long sur la sincérité des sondages. Manipulation.
Alors quand la jeunesse, pourtant plus prompte que d’autres à monter au créneau pour combattre l’injustice, se laisse autant manipuler insidieusement, quand la désinformation par les médias, l’Etat et toute la classe politique bat son plein, cela ne peut conduire, à mon sens, qu’à la catastrophe pour la France. Lincoln disait d’ailleurs que l’on ne pouvait pas tromper tout le monde tout le temps.
Et dans ces conditions les français dans leur majorité – « tout le monde », dans l’acception de Lincoln – sauront enfin en 2007 et dans le secret de l’isoloir, remettre les choses à l’endroit. Du moins je le souhaite.
jeudi, mars 22, 2007
Le Libéralisme, partout… sauf en France.
Quelle n’a pas été ma surprise ce matin, dans mon petit village au cœur du Valais et en ouvrant mon « COOP », de tomber sur un article de la rubrique « Perspectives » intitulé « Le libéralisme sert le progrès ». Quatre pleines pages mettant en avant son auteur Nicolas TENZER et en arrière la France, notre beau pays.
D’abord le média, l’hebdomadaire de COOP, succursaliste de la grande distribution suisse, qui mélange chaque semaine, à destination de ses millions de clients, un hebdomadaire de plus de 100 pages pour mettre en avant ses promotions, l’état de l’art en matière de défense des bons produits, l’art et à coté de la publicité pour les grille-pains, la relation de faits de société.
Ensuite l’auteur de l’article, Nicolas TENZER, qui fait parti de l’élite française. Sciences Po, Ecole Normale Supérieure, ENA. Menant des missions de haut fonctionnaire en France et professeur de philosophie politique dans diverses écoles et universités, en France et à l’étranger. Il vient de sortir un essai, « Faut-il sauver le libéralisme ?». Son constat est sans appel, « La classe dirigeante française vit repliée sur ses privilèges et bloque l’ascenseur social ». Venant de l’un des siens, ce constat est plus un cri de dépit plutôt qu’une marque de jalousie, vous en conviendrez.
Ce n’est pas tant cet ouvrage que je n’ai pas (encore ?) lu, que le média employé par un français pour exprimer son cri et l’invitation qu’il a reçu de la part d’un « grand » de la distribution suisse pour venir s’y exprimer, qui m’interpelle. A destination des expatriés vivant dans ce pays de liberté ? Je pense que c’est plutôt à destination du peuple suisse « friand » cette fois-ci, non pas de chocolat, mais d’ethnologie. Et cela me montre une nouvelle fois que la Presse, en France et dans son ensemble, met le « black-out » sur cette manière de voir la vie en société qui fait gagner, qu’est le libéralisme. Comme l’actualité politique le montre tous les jours de par le monde.
« Vous êtes plutôt seul en France à parler ainsi ? Non, de nombreux hommes politiques, ainsi Dominique Strauss Kahn ou François Hollande, partagent mes convictions, mais en … privé !
Pourquoi pas en public ? En France, on est dans la conservation. Si les idées libérales ont tant de mal à être entendues, cela tient plus aux élites et aux groupes qui dominent le pays, qu’au pays lui-même ! Prenez le secteur de la fonction publique, j’ai pu constater dans des groupes de travail que les refus de réforme, de fluidité, de mise en concurrence, d’ouverture d’accès aux postes tenait plus à des blocages de grands corps de l’Etat qu’à des pressions d’organismes syndicaux !
La France est impossible à réformer, alors ? Pour qu’elle le soit, il faudrait que chacun renonce à tirer parti pour soi du coté obscur du système. Pour l’instant, chacun essaie de maximiser ses petits avantages et ses privilèges. Résultat, confirmé par tous les sondages: un sentiment extraordinairement fort d’injustice et d’inégalité. D’où des réflexes antilibéraux très marqués. »
Qui devra céder en premier pour remettre la France à l’endroit ? La classe dirigeante, en abandonnant ses privilèges ou les français en se révoltant contre ce « modèle social » ne produisant qu’injustices et inégalités ? L’égalité de traitement pour tous est un scandale. La rémunération du travail accompli doit être faîte en fonction du talent et de ce que cela apporte à la société. Une autre approche, qui justement serait anti-libérale, sera létale pour cette société. On le voit aujourd’hui en France. Comment en faire prendre conscience aux français si ce n’est par la diffusion de ces vérités au plus grand nombre. Ce ne sera que lorsque les élites le voudront bien. Attendent-ils d’être mis à bas par des mouvements de rue ?
Alors pour faire progresser leurs idées, les libéraux doivent prendre des chemins détournés et s’appuyer parfois sur des idées mobilisatrices à l’opposé de leurs convictions. J’en ai fait l’expérience personnellement lors du vote du TCE en mai 2005 où je défendais lors de débat public le NON. La directive Bolkenstein, qui est l’essence même du traité européen pour obtenir la liberté de circulation des services comme l’a été la liberté de circulation pour les hommes et les marchandises dans notre espace depuis des décennies, a effrayé l’électeur pour l’amener à refuser un tel texte. Je me suis appuyé sur cet argument, puisque la presse le relayait, alors que mon refus à ce TCE était purement anti-technocratique. Un libéral ne peut refuser la concurrence mais doit, de toutes ses forces, s’élever et en priorité contre tous ceux qui tendent à entraver le libre-arbitre des individus. Pléthores de lois et règlements, souvent illisibles par le plus grand nombre et souvent contradictoires l’étaient. Ces milliers de pages sur lesquelles on demandait aux français, comme dans un immense « jeu de bonneteau », de se prononcer étaient l’archétype de ce, contre quoi il importait de lutter.
Mais la force des choses, en ce qui concerne l’avènement du libéralisme en France, progresse. Tout y participe mais encore trop souvent en dehors des frontières hexagonales. Les choses avancent, le pays est cerné. Les jeunes français qui s’expatrient, les riches qui trouvent eux aussi injuste le sort que l’Etat français leur réserve et qui vont payer leurs impôts ailleurs et ceux qui s’arrêtent, en France, de travailler et « produire » en se mettant à la charge de l’Etat « égalitaire », tout ceci assèche forcément les forces vitales de la « bête » technocratique et va contribuer bientôt à son effondrement.
En avril 2007, les électeurs sauront-ils déjà bousculer les choses ? Je le crois.
Vous pouvez lire l'intégralité de cet article en cliquant sur le lien "Le libéralisme sert le progrès"
D’abord le média, l’hebdomadaire de COOP, succursaliste de la grande distribution suisse, qui mélange chaque semaine, à destination de ses millions de clients, un hebdomadaire de plus de 100 pages pour mettre en avant ses promotions, l’état de l’art en matière de défense des bons produits, l’art et à coté de la publicité pour les grille-pains, la relation de faits de société.
Ensuite l’auteur de l’article, Nicolas TENZER, qui fait parti de l’élite française. Sciences Po, Ecole Normale Supérieure, ENA. Menant des missions de haut fonctionnaire en France et professeur de philosophie politique dans diverses écoles et universités, en France et à l’étranger. Il vient de sortir un essai, « Faut-il sauver le libéralisme ?». Son constat est sans appel, « La classe dirigeante française vit repliée sur ses privilèges et bloque l’ascenseur social ». Venant de l’un des siens, ce constat est plus un cri de dépit plutôt qu’une marque de jalousie, vous en conviendrez.
Ce n’est pas tant cet ouvrage que je n’ai pas (encore ?) lu, que le média employé par un français pour exprimer son cri et l’invitation qu’il a reçu de la part d’un « grand » de la distribution suisse pour venir s’y exprimer, qui m’interpelle. A destination des expatriés vivant dans ce pays de liberté ? Je pense que c’est plutôt à destination du peuple suisse « friand » cette fois-ci, non pas de chocolat, mais d’ethnologie. Et cela me montre une nouvelle fois que la Presse, en France et dans son ensemble, met le « black-out » sur cette manière de voir la vie en société qui fait gagner, qu’est le libéralisme. Comme l’actualité politique le montre tous les jours de par le monde.
« Vous êtes plutôt seul en France à parler ainsi ? Non, de nombreux hommes politiques, ainsi Dominique Strauss Kahn ou François Hollande, partagent mes convictions, mais en … privé !
Pourquoi pas en public ? En France, on est dans la conservation. Si les idées libérales ont tant de mal à être entendues, cela tient plus aux élites et aux groupes qui dominent le pays, qu’au pays lui-même ! Prenez le secteur de la fonction publique, j’ai pu constater dans des groupes de travail que les refus de réforme, de fluidité, de mise en concurrence, d’ouverture d’accès aux postes tenait plus à des blocages de grands corps de l’Etat qu’à des pressions d’organismes syndicaux !
La France est impossible à réformer, alors ? Pour qu’elle le soit, il faudrait que chacun renonce à tirer parti pour soi du coté obscur du système. Pour l’instant, chacun essaie de maximiser ses petits avantages et ses privilèges. Résultat, confirmé par tous les sondages: un sentiment extraordinairement fort d’injustice et d’inégalité. D’où des réflexes antilibéraux très marqués. »
Qui devra céder en premier pour remettre la France à l’endroit ? La classe dirigeante, en abandonnant ses privilèges ou les français en se révoltant contre ce « modèle social » ne produisant qu’injustices et inégalités ? L’égalité de traitement pour tous est un scandale. La rémunération du travail accompli doit être faîte en fonction du talent et de ce que cela apporte à la société. Une autre approche, qui justement serait anti-libérale, sera létale pour cette société. On le voit aujourd’hui en France. Comment en faire prendre conscience aux français si ce n’est par la diffusion de ces vérités au plus grand nombre. Ce ne sera que lorsque les élites le voudront bien. Attendent-ils d’être mis à bas par des mouvements de rue ?
Alors pour faire progresser leurs idées, les libéraux doivent prendre des chemins détournés et s’appuyer parfois sur des idées mobilisatrices à l’opposé de leurs convictions. J’en ai fait l’expérience personnellement lors du vote du TCE en mai 2005 où je défendais lors de débat public le NON. La directive Bolkenstein, qui est l’essence même du traité européen pour obtenir la liberté de circulation des services comme l’a été la liberté de circulation pour les hommes et les marchandises dans notre espace depuis des décennies, a effrayé l’électeur pour l’amener à refuser un tel texte. Je me suis appuyé sur cet argument, puisque la presse le relayait, alors que mon refus à ce TCE était purement anti-technocratique. Un libéral ne peut refuser la concurrence mais doit, de toutes ses forces, s’élever et en priorité contre tous ceux qui tendent à entraver le libre-arbitre des individus. Pléthores de lois et règlements, souvent illisibles par le plus grand nombre et souvent contradictoires l’étaient. Ces milliers de pages sur lesquelles on demandait aux français, comme dans un immense « jeu de bonneteau », de se prononcer étaient l’archétype de ce, contre quoi il importait de lutter.
Mais la force des choses, en ce qui concerne l’avènement du libéralisme en France, progresse. Tout y participe mais encore trop souvent en dehors des frontières hexagonales. Les choses avancent, le pays est cerné. Les jeunes français qui s’expatrient, les riches qui trouvent eux aussi injuste le sort que l’Etat français leur réserve et qui vont payer leurs impôts ailleurs et ceux qui s’arrêtent, en France, de travailler et « produire » en se mettant à la charge de l’Etat « égalitaire », tout ceci assèche forcément les forces vitales de la « bête » technocratique et va contribuer bientôt à son effondrement.
En avril 2007, les électeurs sauront-ils déjà bousculer les choses ? Je le crois.
Vous pouvez lire l'intégralité de cet article en cliquant sur le lien "Le libéralisme sert le progrès"
mercredi, février 28, 2007
Faire "table rase" du système politique français
Il me semble urgent de faire table rase du monde politique français actuel.
Les procédures mises en place en ce qui concerne l’élection présidentielle en 2007 le montrent à suffisance. Tel que dans un régime mafieux, ce sont les deux grands partis principalement, qui vont décider demain de qui va ou non se présenter à cette élection avec les modalités existantes actuellement.
Si cela permettait, comme l’était le fondement de cette procédure, d’empêcher que se présentent des candidats farfelus, soit! Cela pourrait se comprendre. Mais ce n’est plus le cas, tout le montre ! C’est la France que l’on veut, qu’ILS veulent museler. Non seulement c’est inacceptable, mais et en France particulièrement quoiqu’on en dise, cela va conduire à une situation explosive. Comment en serait-il autrement ?
Tout d’abord c’est bien la majorité des français qui est spolié en la matière. Regardons ne serait-ce que le clivage primaire entre le « oui » et le « non » que les français ont émis lors du vote sur le TCE le 29 mai 2005. Comment le NON est-il représenté lors du scrutin à venir ? Et bien il ne l’est pas, tout simplement. Quand les français, contre 92% de leur classe politique en 2005, ont dit « non » à cette main-mise, qui se voulait définitive, de la technocratie, ils ont pourtant émis clairement et en se déplaçant en masse aux urnes, une volonté démocratique précise. Que l’on ne vienne pas soutenir, après un an de campagne sur le sujet, que les français étaient alors mal informés des enjeux. Ils ont exprimés une toute autre volonté que les votes godillots de certains autres parlements européens qui ont cherché à complaire à ceux qui leur donnaient l'investiture. Est-ce cela de la démocratie.
Et aujourd’hui à quoi assiste-t-on ? Ces mêmes partis politiques, désavoués comme jamais en 2005 par les français, qui empêchent d’une manière délibérée, que ces mêmes français puissent s’exprimer lors de cette élection au suffrage qui pourtant se veut « universel ». Jugeons-en. Les porteurs du NON, que les français ont quasi plèbicités sont Nicolas Dupont-Aignan, De Villiers, Le Pen, Fabius en particulier. Et ces personnes porteurs pourtant d’un vote majoritaire, sont-ils des candidats fantaisistes ? Et bien à quelques jours de la clôture des candidatures et par la seule volonté de l’UMP et du PS et grâce à des manœuvres mafieuses, ces derniers ne sont pas sûr de pouvoir représenter leurs courants de pensée.
Si d’aventure, demain, ILS réussissaient leur coup, la France ne serait plus et à la face du monde entier, une démocratie, mais à « ranger » au rang des pires républiques « bananières » ou « mafieuses », au choix. Mais peut-on, d’élection en élection et au XXIème siècle et dans le monde occidental, bafouer aussi impunément et ouvertement la démocratie, alors que dans le même temps on veut encore donner des « leçons » à ce même monde entier.
Cette situation devient de plus en plus dangereuse et pour la paix civique et pour le civisme tout simplement quand ceux qui prétendent « diriger » la France font preuve d’autant de « légèreté » institutionnelle. C’est trop flagrant ! Surtout quand on voit que cela ne conduit aucunement ni aux bonheur de ces français, ni à leur enrichissement ou autres épanouissements. C’est grave !
Il faut faire table rase, en France, de tout notre système politique. Il ne sert plus aux français, il ne représente plus la France. Il faut faire la Révolution. Et les français en sont de plus en plus persuadés et ils le montreront le 22 avril prochain, malgré ou à cause d’ailleurs du battage médiatique contraire. Et cette table rase pour quoi faire ? Mais tout ! Le peuple français pourra alors exprimer ses souhaits en matière de politique européenne et mondiale par exemple, mais aussi pourra reconstruire, à travers un vrai libéralisme, une économie enfin enrichissante pour tous. C’est la seule voie possible pour justement accéder au libéralisme en France.
Et cette « révolution », ils l’avaient spontanément compris le 21 avril 2002, en votant Le Pen bien au delà des mots d’ordres. En 2007 et les mêmes causes, comme en physique, produisant les mêmes effets et alors que ces causes se sont encore aggravées – mais avec la politique menée depuis 5 ans il ne pouvait pas en être autrement – Le Pen arrivera en tête du premier tour du scrutin, j’en suis persuadé.
Mais cette fois-ci il n’y aura plus effet de surprise, mais prise de conscience populaire, que dans cette « fenêtre de tir démocratique » ce sera le moment ou jamais de faire une "révolution" et une table rase dans le calme et pour la grandeur de la France. J’ai bien peur que si ce moment ne peut avoir lieu, les français et ils le savent, devront se préparer à des jours sombres qu’ils ne connaissaient plus depuis longtemps! Car on ne peut impunément et tout le temps tromper un si grand nombre de citoyens. Que le St Esprit nous viennent en aide !
Les procédures mises en place en ce qui concerne l’élection présidentielle en 2007 le montrent à suffisance. Tel que dans un régime mafieux, ce sont les deux grands partis principalement, qui vont décider demain de qui va ou non se présenter à cette élection avec les modalités existantes actuellement.
Si cela permettait, comme l’était le fondement de cette procédure, d’empêcher que se présentent des candidats farfelus, soit! Cela pourrait se comprendre. Mais ce n’est plus le cas, tout le montre ! C’est la France que l’on veut, qu’ILS veulent museler. Non seulement c’est inacceptable, mais et en France particulièrement quoiqu’on en dise, cela va conduire à une situation explosive. Comment en serait-il autrement ?
Tout d’abord c’est bien la majorité des français qui est spolié en la matière. Regardons ne serait-ce que le clivage primaire entre le « oui » et le « non » que les français ont émis lors du vote sur le TCE le 29 mai 2005. Comment le NON est-il représenté lors du scrutin à venir ? Et bien il ne l’est pas, tout simplement. Quand les français, contre 92% de leur classe politique en 2005, ont dit « non » à cette main-mise, qui se voulait définitive, de la technocratie, ils ont pourtant émis clairement et en se déplaçant en masse aux urnes, une volonté démocratique précise. Que l’on ne vienne pas soutenir, après un an de campagne sur le sujet, que les français étaient alors mal informés des enjeux. Ils ont exprimés une toute autre volonté que les votes godillots de certains autres parlements européens qui ont cherché à complaire à ceux qui leur donnaient l'investiture. Est-ce cela de la démocratie.
Et aujourd’hui à quoi assiste-t-on ? Ces mêmes partis politiques, désavoués comme jamais en 2005 par les français, qui empêchent d’une manière délibérée, que ces mêmes français puissent s’exprimer lors de cette élection au suffrage qui pourtant se veut « universel ». Jugeons-en. Les porteurs du NON, que les français ont quasi plèbicités sont Nicolas Dupont-Aignan, De Villiers, Le Pen, Fabius en particulier. Et ces personnes porteurs pourtant d’un vote majoritaire, sont-ils des candidats fantaisistes ? Et bien à quelques jours de la clôture des candidatures et par la seule volonté de l’UMP et du PS et grâce à des manœuvres mafieuses, ces derniers ne sont pas sûr de pouvoir représenter leurs courants de pensée.
Si d’aventure, demain, ILS réussissaient leur coup, la France ne serait plus et à la face du monde entier, une démocratie, mais à « ranger » au rang des pires républiques « bananières » ou « mafieuses », au choix. Mais peut-on, d’élection en élection et au XXIème siècle et dans le monde occidental, bafouer aussi impunément et ouvertement la démocratie, alors que dans le même temps on veut encore donner des « leçons » à ce même monde entier.
Cette situation devient de plus en plus dangereuse et pour la paix civique et pour le civisme tout simplement quand ceux qui prétendent « diriger » la France font preuve d’autant de « légèreté » institutionnelle. C’est trop flagrant ! Surtout quand on voit que cela ne conduit aucunement ni aux bonheur de ces français, ni à leur enrichissement ou autres épanouissements. C’est grave !
Il faut faire table rase, en France, de tout notre système politique. Il ne sert plus aux français, il ne représente plus la France. Il faut faire la Révolution. Et les français en sont de plus en plus persuadés et ils le montreront le 22 avril prochain, malgré ou à cause d’ailleurs du battage médiatique contraire. Et cette table rase pour quoi faire ? Mais tout ! Le peuple français pourra alors exprimer ses souhaits en matière de politique européenne et mondiale par exemple, mais aussi pourra reconstruire, à travers un vrai libéralisme, une économie enfin enrichissante pour tous. C’est la seule voie possible pour justement accéder au libéralisme en France.
Et cette « révolution », ils l’avaient spontanément compris le 21 avril 2002, en votant Le Pen bien au delà des mots d’ordres. En 2007 et les mêmes causes, comme en physique, produisant les mêmes effets et alors que ces causes se sont encore aggravées – mais avec la politique menée depuis 5 ans il ne pouvait pas en être autrement – Le Pen arrivera en tête du premier tour du scrutin, j’en suis persuadé.
Mais cette fois-ci il n’y aura plus effet de surprise, mais prise de conscience populaire, que dans cette « fenêtre de tir démocratique » ce sera le moment ou jamais de faire une "révolution" et une table rase dans le calme et pour la grandeur de la France. J’ai bien peur que si ce moment ne peut avoir lieu, les français et ils le savent, devront se préparer à des jours sombres qu’ils ne connaissaient plus depuis longtemps! Car on ne peut impunément et tout le temps tromper un si grand nombre de citoyens. Que le St Esprit nous viennent en aide !
dimanche, janvier 21, 2007
Payons-nous les politiciens pour faire une politique compassionnelle ?
Le cancer tue encore en 2007 et c’est vraiment une sale maladie.
Il y a quelques années, une association reconnue d’utilité publique faisait appel à la générosité des français pour aider, par leurs dons, la recherche médicale. D’une manière spontanée pour une telle cause, cette générosité était importante. Et puis il est apparu à la faveur d’un contrôle, que c’est de moins en moins d’argent des donateurs qui allaient à la recherche et que dans le même temps, les dirigeants de cette association, son président Crozemarie en tête, avaient un train de vie princier.
Brutalement les dons en vinrent à quasi cesser vis à vis de cet organisme et pour quelques mois, si ce n’est quelques années, c’est tous les appels à la générosité des français à se mobiliser pour des œuvres de charité qui s’est trouvé affecté par ce scandale. Mais et parce que les donateurs pouvaient choisir entre divers organismes et que ceux mal gérés ou spoliateurs pouvaient être écartés que le marché des dons privés, pour diverses causes, a pu reprendre.
Mais nous le voyons bien dans cet exemple, les organismes étaient gérés d’une façon concurrentielle et la contribution du public était facultative. Nous étions sur ce plan dans un système où chacun est LIBRE de donner ou non et en fonction tant de la destination des dons et de la qualité des opérateurs en cause.
Mais aujourd’hui et encore plus lors de cette élection présidentielle qui mobilise les français, n’y a-t-il pas un parallèle important à faire entre les causes multiples de faire appel à la « charité » des français et la politique compassionnelle à laquelle on assiste. La majeure partie des « programmes politiques » qui nous sont présentés mettent en avant la précarité, la pauvreté, la mise à l’écart du monde actuel, de français (ou d’émigrès) auxquels il importerait de porter secours.
Mais là, point de liberté personnelle que de le faire ou pas. Il y a (ou y aura) une loi qui met, par exemple, à la charge de l’état de loger ceux qui ne le sont pas ou mal et comme en face de cet « emploi budgétaire », il faudra bien trouver des ressources, ce sera la collecte de l’impôt qui y pourvoira. Et si d’aventure, le « contribuable » entendait y échapper pour quelque raison que ce soit, la « force publique » le contraindrait malgré lui.
Et dans chacun de ces nouveaux organismes qu’il faudra créer pour gérer ces flux tant financiers que pour mettre en œuvre cet objectif, ce seront des milliers d’emplois nouveaux qui commenceront à « ponctionner » cette masse de la collecte spécifique, avant que le premier logement soit construit. Y aura-t-il, de plus, concurrence entre divers organismes pour remplir cette tâche ? que nenni. Encore une fois on va s’apercevoir que ce Monsieur Crozemarie coûtait, avec ses extravagances, bien moins cher que tous ceux à qui il va être donné, en leur qualité d’agents de l’état un nouvel emploi et donc une créance à vie sur les « contribuables donateurs ».
Mais de plus, avec toutes ces surenchères dans la compassion d’état, l’on ne voit que trop, sa finalité du moment. Apporter des voix à nos « chers » (dans tous les sens du terme) candidats. Des hommes ou des femmes, bons au point de venir en aide aux plus nécessiteux, ne peuvent pas être mauvais !... Est-ce là toutes les finalités de la politique française ? Est-ce là le rôle principal que doit remplir un politicien ? …
Ce matin dans la presse, c’est près de 60% des français qui trouvent que le poids des impôts en France n’est pas excessif. Et c’est 52% des foyers fiscaux qui ne payent pas d’impôts directs. A qui la question a-t-elle été posée ? A 1003 personnes suivant la méthode habituelle…Quand il s’agit de savoir si l’on paye en France trop ou pas assez d’impôt, ne serait-il pas de bon usage que de n’interroger que ceux qui en payent ? On fait vraiment dire ce que l’on veut aux sondages et sur tous les plans. Allons-nous encore longtemps nous laisser ainsi manipuler ?
Quand de mon point de vue, il semble évident que la grande misère de certains de ceux qui vivent sur notre territoire n’a pas d’autres origines que la politique menée depuis trente ans, l’on peut s’interroger aussi pour savoir si ce n’est pas d’une manière délibérée que cette population est maintenue dans un tel état. Permettant à la fois à certains, soit pour être les « pourvoyeurs exclusifs» de bienfaits auprès d’eux, soit pour leur permettre de faire appel à notre sens charitable afin de rester « sous le robinet » de cette redistribution de plus en plus inégalitaire.
J’y vois là encore une analogie flagrante avec les manœuvres de certains des despotes africains qui affament une partie de leurs concitoyens, pour ne pas dire leurs peuples tant les composantes ethniques et tribales sont encore d’actualité sur ce continent, pour qu’après, à grand renfort de médias, ils puissent mobiliser, en définitive à leurs seuls profits, l’aide internationale publique ou privé d’ailleurs. Manœuvres dénoncées là et supportées chez nous sur un autre plan.
Allons nous élire au printemps un Président de la République et des députés et allons-nous les payer pour qu’ils fassent de la politique compassionnelle ? Ne serait-il pas bon au contraire de choisir ceux qui seront les meilleurs pour amener notre pays à créer, par le travail de tous, de nouvelles richesses. Il ne me semble pas que ce soit le cadet des soucis de tous ceux que nous entendons à ce jour et qui ne nous parlent que de la manière idéologique de « redistribuer ».
Et c’est pourquoi la France ne prend toujours pas le chemin du redressement. Remettre les français au travail, cela veut dire avant tout que rien ne puisse être donné qu’il n’ait été mérité par un travail ou un effort. Cette politique où ceux qui ne font rien tiennent le devant de la scène pour le seul bénéfice en réalité de la caste au pouvoir, qui se sert au passage, est létale pour la France. Je le crie sur ce blog pour appeler les français à plus de raison.
Il y a quelques années, une association reconnue d’utilité publique faisait appel à la générosité des français pour aider, par leurs dons, la recherche médicale. D’une manière spontanée pour une telle cause, cette générosité était importante. Et puis il est apparu à la faveur d’un contrôle, que c’est de moins en moins d’argent des donateurs qui allaient à la recherche et que dans le même temps, les dirigeants de cette association, son président Crozemarie en tête, avaient un train de vie princier.
Brutalement les dons en vinrent à quasi cesser vis à vis de cet organisme et pour quelques mois, si ce n’est quelques années, c’est tous les appels à la générosité des français à se mobiliser pour des œuvres de charité qui s’est trouvé affecté par ce scandale. Mais et parce que les donateurs pouvaient choisir entre divers organismes et que ceux mal gérés ou spoliateurs pouvaient être écartés que le marché des dons privés, pour diverses causes, a pu reprendre.
Mais nous le voyons bien dans cet exemple, les organismes étaient gérés d’une façon concurrentielle et la contribution du public était facultative. Nous étions sur ce plan dans un système où chacun est LIBRE de donner ou non et en fonction tant de la destination des dons et de la qualité des opérateurs en cause.
Mais aujourd’hui et encore plus lors de cette élection présidentielle qui mobilise les français, n’y a-t-il pas un parallèle important à faire entre les causes multiples de faire appel à la « charité » des français et la politique compassionnelle à laquelle on assiste. La majeure partie des « programmes politiques » qui nous sont présentés mettent en avant la précarité, la pauvreté, la mise à l’écart du monde actuel, de français (ou d’émigrès) auxquels il importerait de porter secours.
Mais là, point de liberté personnelle que de le faire ou pas. Il y a (ou y aura) une loi qui met, par exemple, à la charge de l’état de loger ceux qui ne le sont pas ou mal et comme en face de cet « emploi budgétaire », il faudra bien trouver des ressources, ce sera la collecte de l’impôt qui y pourvoira. Et si d’aventure, le « contribuable » entendait y échapper pour quelque raison que ce soit, la « force publique » le contraindrait malgré lui.
Et dans chacun de ces nouveaux organismes qu’il faudra créer pour gérer ces flux tant financiers que pour mettre en œuvre cet objectif, ce seront des milliers d’emplois nouveaux qui commenceront à « ponctionner » cette masse de la collecte spécifique, avant que le premier logement soit construit. Y aura-t-il, de plus, concurrence entre divers organismes pour remplir cette tâche ? que nenni. Encore une fois on va s’apercevoir que ce Monsieur Crozemarie coûtait, avec ses extravagances, bien moins cher que tous ceux à qui il va être donné, en leur qualité d’agents de l’état un nouvel emploi et donc une créance à vie sur les « contribuables donateurs ».
Mais de plus, avec toutes ces surenchères dans la compassion d’état, l’on ne voit que trop, sa finalité du moment. Apporter des voix à nos « chers » (dans tous les sens du terme) candidats. Des hommes ou des femmes, bons au point de venir en aide aux plus nécessiteux, ne peuvent pas être mauvais !... Est-ce là toutes les finalités de la politique française ? Est-ce là le rôle principal que doit remplir un politicien ? …
Ce matin dans la presse, c’est près de 60% des français qui trouvent que le poids des impôts en France n’est pas excessif. Et c’est 52% des foyers fiscaux qui ne payent pas d’impôts directs. A qui la question a-t-elle été posée ? A 1003 personnes suivant la méthode habituelle…Quand il s’agit de savoir si l’on paye en France trop ou pas assez d’impôt, ne serait-il pas de bon usage que de n’interroger que ceux qui en payent ? On fait vraiment dire ce que l’on veut aux sondages et sur tous les plans. Allons-nous encore longtemps nous laisser ainsi manipuler ?
Quand de mon point de vue, il semble évident que la grande misère de certains de ceux qui vivent sur notre territoire n’a pas d’autres origines que la politique menée depuis trente ans, l’on peut s’interroger aussi pour savoir si ce n’est pas d’une manière délibérée que cette population est maintenue dans un tel état. Permettant à la fois à certains, soit pour être les « pourvoyeurs exclusifs» de bienfaits auprès d’eux, soit pour leur permettre de faire appel à notre sens charitable afin de rester « sous le robinet » de cette redistribution de plus en plus inégalitaire.
J’y vois là encore une analogie flagrante avec les manœuvres de certains des despotes africains qui affament une partie de leurs concitoyens, pour ne pas dire leurs peuples tant les composantes ethniques et tribales sont encore d’actualité sur ce continent, pour qu’après, à grand renfort de médias, ils puissent mobiliser, en définitive à leurs seuls profits, l’aide internationale publique ou privé d’ailleurs. Manœuvres dénoncées là et supportées chez nous sur un autre plan.
Allons nous élire au printemps un Président de la République et des députés et allons-nous les payer pour qu’ils fassent de la politique compassionnelle ? Ne serait-il pas bon au contraire de choisir ceux qui seront les meilleurs pour amener notre pays à créer, par le travail de tous, de nouvelles richesses. Il ne me semble pas que ce soit le cadet des soucis de tous ceux que nous entendons à ce jour et qui ne nous parlent que de la manière idéologique de « redistribuer ».
Et c’est pourquoi la France ne prend toujours pas le chemin du redressement. Remettre les français au travail, cela veut dire avant tout que rien ne puisse être donné qu’il n’ait été mérité par un travail ou un effort. Cette politique où ceux qui ne font rien tiennent le devant de la scène pour le seul bénéfice en réalité de la caste au pouvoir, qui se sert au passage, est létale pour la France. Je le crie sur ce blog pour appeler les français à plus de raison.
mercredi, janvier 10, 2007
Chirac, homme de gauche, « candidat naturel » de la droite !...
Va-t-il encore une fois sur un dernier coup de Jarnac, terminer sa carrière politique en plombant une nouvelle fois la France, en lui imposant une politique de gauche dont elle ne veut plus depuis longtemps.
Comment dans le pays de la révolution libérale de 1789 et où les valeurs humanistes sont partagées par plus de la moitié des individus contre un collectivisme archaïque, maintenir une politique socialisante et létale, d’abord pour les français ? Chirac l'a fait et sur ces 25 dernières années, vient de nous en faire la démonstration.
La plus grande mystification à laquelle nous ayons assisté depuis longtemps et qui lui permettra surement de rester dans l’Histoire de France à ce titre ! Qu’il ait vendu l’Humanité durant sa jeunesse, d’autres l’ont fait. Mais la sagesse venant avec l’âge, ils en sont venus pour la plupart et même si c’est sur le tard, à la raison et à tourner le dos à cette idéologie qui n’élève pas, c’est le moins que l’on puisse dire, l’individu.
Et encore une fois cela montre bien qu’il importe avant tout de juger les gens, qui plus est les hommes politiques sur leurs actes plutôt que sur leurs promesses ou discours. Jugez-en.
Laissons les prémices de sa carrière politique de coté pour ne nous attacher qu’à son activité depuis 1981. Il est de notoriété « historique » maintenant, que c’est bien lui et lui seul qui a, par ses manœuvres, permis à François Mitterrand de devenir Président cette année là contre Giscard d’Estaing. Puis 7 ans après, en se faisant passer, à la tribune et certainement meilleur orateur que lui, comme le seul candidat capable de faire gagner la droite, il a, même sachant son impopularité chez une grande partie des français, évincé Balladur qui aurait battu à ce moment là Mitterrand avec certitude. 2 à 0 pour la gauche contre la France pourtant majoritaire à droite.
Quand, voyant ses manœuvres si bien fonctionner et tenant bien ses réseaux de copains et coquins et malgré les avertissements aux français de ceux le connaissaient bien comme Garaud ou Juillet, c’est encore lui en 1995 qui s’est institué le « candidat naturel » de cette droite que les français appelaient de leurs vœux. Il est devenu Président. Et dans les ministères et au contraire de ce qu’avaient fait les équipes mitterrandiennes, pas de chasses aux sorcières !....
Dans le même temps, avec Juppé Premier Ministre et les administrations « tenues » par des gens de gauche, il ne fallut pas longtemps, juste 2 ans, pour et qu’avec les conseils de son éminence grise Dominique de Villepin, dont le livre « La mouette et le requin » montre si de besoin la sensibilité marxisante, il fasse dissoudre l’Assemblée Nationale pour donner à nouveau le pouvoir à ses amis. C’est proprement impensable pour eux deux, que de nous faire croire que les Renseignements généraux et les sondages, tant la victoire socialiste de l’époque a été nette, ne les aient pas informé de ce qui allait alors se passer. Surtout que la France avait bien été « chauffée » par la morgue de son Premier Ministre les mois précédents et le moment bien choisi.
Après et contrairement à ce qu’avait fait Mitterrand en son temps, Chirac a-t-il fait des manœuvres de retardement pour la mise en application de politiques ruineuses pour la France comme le passage aux 35heures ? Que nenni. Et nous nous sommes retrouvés en 2002. Si alors Jospin s’y est trouvé laminé, lui, le « défenseur de fait de la gauche » était toujours là.
Alors aujourd’hui en 2007 que va-t-il bien encore pouvoir inventer pour continuer à maintenir la France dans cette politique socialisante létale pour les français si ce n’est pour tous les édiles de ses réseaux et leurs affidés. Il va, sous le faux prétexte d’antagonisme personnel entre Sarkozy et la paire qu’il fait avec de Villepin, provoquer une candidature multiple à droite qui l’empêchera d’arriver au 2ème tour. Et si toutes ces manœuvres ne sont pas perçues, avec le concours des médias par les électeurs français, ce ne sera pas la lecture qu’en feront les historiens.
Alors, dans ce duel qui se profile à l’horizon, en avril 2007 entre Ségolène Royal et Jean-Marie Le Pen, croit-il lui, le défenseur objectif de la gauche, faire gagner une fois encore son camp ? Là, comme le disait déjà Lincoln en son temps et devant l’impossibilité de tromper tout le monde tout le temps, il se pourrait bien qu’enfin les électeurs de droite, majoritaires dans notre pays, comprennent enfin que le seul vote de droite que l’on nous propose aujourd’hui, c’est bien celui pour Le Pen.
Ce sera à coup sur le seul moyen de sortir des griffes de cette sociale démocratie qui ne sait que demander toujours plus aux contribuables, pour finir immanquablement, si on la laisse faire, par tuer notre poule aux œufs d’or.
Comment dans le pays de la révolution libérale de 1789 et où les valeurs humanistes sont partagées par plus de la moitié des individus contre un collectivisme archaïque, maintenir une politique socialisante et létale, d’abord pour les français ? Chirac l'a fait et sur ces 25 dernières années, vient de nous en faire la démonstration.
La plus grande mystification à laquelle nous ayons assisté depuis longtemps et qui lui permettra surement de rester dans l’Histoire de France à ce titre ! Qu’il ait vendu l’Humanité durant sa jeunesse, d’autres l’ont fait. Mais la sagesse venant avec l’âge, ils en sont venus pour la plupart et même si c’est sur le tard, à la raison et à tourner le dos à cette idéologie qui n’élève pas, c’est le moins que l’on puisse dire, l’individu.
Et encore une fois cela montre bien qu’il importe avant tout de juger les gens, qui plus est les hommes politiques sur leurs actes plutôt que sur leurs promesses ou discours. Jugez-en.
Laissons les prémices de sa carrière politique de coté pour ne nous attacher qu’à son activité depuis 1981. Il est de notoriété « historique » maintenant, que c’est bien lui et lui seul qui a, par ses manœuvres, permis à François Mitterrand de devenir Président cette année là contre Giscard d’Estaing. Puis 7 ans après, en se faisant passer, à la tribune et certainement meilleur orateur que lui, comme le seul candidat capable de faire gagner la droite, il a, même sachant son impopularité chez une grande partie des français, évincé Balladur qui aurait battu à ce moment là Mitterrand avec certitude. 2 à 0 pour la gauche contre la France pourtant majoritaire à droite.
Quand, voyant ses manœuvres si bien fonctionner et tenant bien ses réseaux de copains et coquins et malgré les avertissements aux français de ceux le connaissaient bien comme Garaud ou Juillet, c’est encore lui en 1995 qui s’est institué le « candidat naturel » de cette droite que les français appelaient de leurs vœux. Il est devenu Président. Et dans les ministères et au contraire de ce qu’avaient fait les équipes mitterrandiennes, pas de chasses aux sorcières !....
Dans le même temps, avec Juppé Premier Ministre et les administrations « tenues » par des gens de gauche, il ne fallut pas longtemps, juste 2 ans, pour et qu’avec les conseils de son éminence grise Dominique de Villepin, dont le livre « La mouette et le requin » montre si de besoin la sensibilité marxisante, il fasse dissoudre l’Assemblée Nationale pour donner à nouveau le pouvoir à ses amis. C’est proprement impensable pour eux deux, que de nous faire croire que les Renseignements généraux et les sondages, tant la victoire socialiste de l’époque a été nette, ne les aient pas informé de ce qui allait alors se passer. Surtout que la France avait bien été « chauffée » par la morgue de son Premier Ministre les mois précédents et le moment bien choisi.
Après et contrairement à ce qu’avait fait Mitterrand en son temps, Chirac a-t-il fait des manœuvres de retardement pour la mise en application de politiques ruineuses pour la France comme le passage aux 35heures ? Que nenni. Et nous nous sommes retrouvés en 2002. Si alors Jospin s’y est trouvé laminé, lui, le « défenseur de fait de la gauche » était toujours là.
Alors aujourd’hui en 2007 que va-t-il bien encore pouvoir inventer pour continuer à maintenir la France dans cette politique socialisante létale pour les français si ce n’est pour tous les édiles de ses réseaux et leurs affidés. Il va, sous le faux prétexte d’antagonisme personnel entre Sarkozy et la paire qu’il fait avec de Villepin, provoquer une candidature multiple à droite qui l’empêchera d’arriver au 2ème tour. Et si toutes ces manœuvres ne sont pas perçues, avec le concours des médias par les électeurs français, ce ne sera pas la lecture qu’en feront les historiens.
Alors, dans ce duel qui se profile à l’horizon, en avril 2007 entre Ségolène Royal et Jean-Marie Le Pen, croit-il lui, le défenseur objectif de la gauche, faire gagner une fois encore son camp ? Là, comme le disait déjà Lincoln en son temps et devant l’impossibilité de tromper tout le monde tout le temps, il se pourrait bien qu’enfin les électeurs de droite, majoritaires dans notre pays, comprennent enfin que le seul vote de droite que l’on nous propose aujourd’hui, c’est bien celui pour Le Pen.
Ce sera à coup sur le seul moyen de sortir des griffes de cette sociale démocratie qui ne sait que demander toujours plus aux contribuables, pour finir immanquablement, si on la laisse faire, par tuer notre poule aux œufs d’or.
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