samedi, décembre 31, 2005

Meilleurs vœux à tous pour 2006

Je souhaite à tous les visiteurs de ce blog, mes vœux les plus cordiaux pour cette nouvelle année 2006.

Que 2006 nous apporte un peu plus de clairvoyance et de véritable altruisme chez nos hommes politiques.

mercredi, décembre 28, 2005

La "TVA sociale" encore une fausse bonne idée des "mêmes".

La TVA sociale, encore une fausse-bonne idée de nos technocrates qui se croient les plus intelligents du monde.

Mais certainement aussi les moins observateurs, car si c’était la panacée mondiale, nous serions les derniers à l’appliquer, alors que nous voulons être les premiers !...

Si l’on veut que les produits fabriqués en France, substituent une "TVA sociale" aux charges sociales actuelles, sans augmentation des prix de vente de ces produits, en appliquant sur tous les produits vendus sur le marché francais une nouvelle TVA dite sociale, cela ne fera qu'appliquer un coût supplémentaire aux seuls produits importés.

L'assiette des cotisations étant alors beaucoup plus importante qu'actuellement, on peut imaginer que si on veut, en valeur absolue, garder le même "prélêvement social", ce taux baissera en faisant de facto et par ricochet intégral (pour le raisonnement, à prix égal), plus d'argent pour les salariés ou l'entreprise française, à mettre dans la consommation en France.

Mais dans ce cas là ne parlons pas dans le même temps d’une “prime” à l’exportation de produits moins chers. Avec la même somme d’argent, sauf à la moduler dans son enveloppe, on ne peut faire qu’une seule chose.

Il n'empêche qu’ainsi on va renchérir le prix de vente aux consommateurs de tous les produits fabriqués à l'extérieur et ce seront bien ces consommateurs français qui payeront ce différentiel de prix de certains produits qui seront importés. Il y aura bien transfert de collecte de "cotisations sociales" entre l'entreprise dans son ensemble (salariés et entreprise, à prix égal) ou diminution du prix de revient des produits français (dans le cas où le différentiel n'est réparti ni entre les salariés ni au bénéfice de l'entreprise), et l'ensemble des consommateurs. Ce seront toujours les français in fine qui paieront. Hier les salariés, demain dans le cas de la "tva sociale", tous les français consommateurs. Pourquoi tenter de vouloir nous “bourrer le mou” avec le contraire.

Est-ce que cela aidera à mieux exporter les produits français et les rendre plus compétitifs sur le marché français, je ne le crois pas. Mais les produits importés deviendront plus chers pour les consommateurs français. En achèteront-ils moins (en perdant de facto du niveau de vie) ou bien demanderont-ils des augmentations pour compenser ce surenchérissement.

Ce sera un jeu à partie nulle qui ne résoudra pas le problème des entreprises ni celui de la Sécurité sociale française car, sur ce plan, les français devenant de plus en plus vieux et ayant des maladies de mieux en mieux connues, devront travailler plus longtemps et réguler leurs dépenses, si l’on veut équilibrer notre système de santé, ce qui se fera bien un jour. Mais ces mêmes "plus intelligents du monde" n'en ont pas encore trouvé la solution - qui ne dérange pas leur petit confort - !

Cette TVA sociale est encore une gesticulation de nos technocrates, qui veulent encore décider à la place du "marché", ce qui est bon pour le citoyen. Le seul résultat, comme je viens de le montrer ne fera qu'appauvrir les français en terme de niveau de vie.

Comme d'ailleurs tout ce que font nos dirigeants depuis une trop longue période. Revenons aux fondamentaux qui ont enrichi la France et laissons les individus "s'entendre" entre eux en diminuant l'état dont le poids est la principale cause actuelle des problèmes de la France.

Nous avons vraiment les technocrates les plus intelligents du monde. Il veulent par une seule mesure “miracle”, résoudre le problème du déficit de la “Sécurité Sociale”, diminuer les charges de l’entreprise, mettre des barrières à l’entrée sur des produits venant de pays à coûts salariaux moindre et réduire ainsi nos délocalisations, tout en aidant nos entreprises à mieux exporter et j’en passe ... pour ne pas être trop long ! Et le consommateur français dans tout cela ?

Est-ce leur “chant du cygne” ou devrons-nous supporter encore longtemps ces “manipulateurs de bonneteau”.

L'intérêt de l'individu doit primer sur la celui de "la collectivité", qui n'apparaît en définitive que comme un alibi pour son exploitation par une minorité.
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dimanche, décembre 25, 2005

Hommes neufs pour le Libéralisme?

Demain, pour revenir (car il y a moins de 100 ans la France était profondément libérale) à un vrai projet libéral pour elle, faudra-t-il nous appuyer sur des hommes et des femmes neufs, ou bien faire confiance aux politiciens que nous avons actuellement.

Certains semblent croire que certains députés pourraient demain, défendre l’étendard du libéralisme pour changer et sauver notre société. Pour ma part je ne le crois pas. Au moins dans un premier temps, quand il va s’agir de définir de nouvelles structures pour la France et aider notre pays à changer de mentalité.

Je ne crois pas que nous pourrons nous appuyer sur ces “professionnels” de la politique pour que la France puisse enfin et comme dans la plupart de nos pays voisins, tourner la page du collectivisme et ceci pour plusieurs raisons.

La première des raisons sera leur crédibilité. Car avant d’être représentants politiques élus, ces hommes et ces femmes qui sont, par hypothèse venus nous demander de voter pour eux, ne nous ont jamais dit: “voila mes convictions politiques et économiques mais, appartenant à un parti de gouvernement, toutes les promesses que je suis en train de vous faire pour solliciter vos suffrages, je ne les tiendrais que dans la mesure où “ceux qui tirent les ficelles” me le permettront”. Dans ces conditions, sur des sujets aussi importants que d’ailleurs ils nous en rebattent les oreilles par médias interposés, les voir renoncer sans vergogne à leurs promesses d’homme, doit nous les mettre définitivement hors jeu.

On ne peut leur faire confiance. Les électeurs ne le font plus confiance. Devrons-nous, demain, laisser nos convictions libérales être galvaudées par des représentants sans parole ? Car demain, avant tout changement politique il faudra que les choses soient claires et que les promesses électorales n’engagent plus “que ceux qui les écoutent”. Sinon ce n’est même plus la peine d’aller voter pour un programme, s’il n’a servit que de “faire-valoir” à certains, pour pouvoir simplement “être au chaud” pour les 5 ans à venir.

Pour redonner toute sa place à la démocratie il faudra d’abord mettre en place une “procédure” de révocation, dans nos institutions, pour ceux qui se prononceraient lors de l’exercice du mandat que nous leur aurions confié, à l’inverse de leurs promesses électorales.

La deuxième des raisons tend à rendre la classe politique plus proche des préoccupations de ceux qu’elle représente et c’est le fait de ne pouvoir pas briguer plus de deux fois la même fonction élective. Ce faisant il faudra à nos représentants la capacité d’avoir un autre métier qui lui, participera à la sphère “productive” du pays. Car, comme on le voit aujourd’hui, la plus grande part de l’activité de beaucoup de nos repésentants se réduit à conserver leur “siège” et ce, par tous les moyens et malheureusement suivant l’adage qu’il n’y a que celui qui ne fait rien qui ne se trompe pas et c’est bien dommage pour la France.

Ceci, excluera aussi des fonctions électives, les fonctionnaires de l’état et des collectivités territoriales. On ne peut être juge et parti. Sur ce même plan, il ne faudra plus non plus que ce soient les agents des “services dits publics” qui s’arrogent le droit de “défendre” ou de “dire” ce que doivent être ces services publics. Et ceci en prenant les français en otages de leurs revendications, qui ne sont, on le voit bien, que corporatistes. Ce devra être à nos élus d’en décider au sein de notre Parlement.

Je pense que toutes ces mesures sont des préalables à voir réellement changer les choses dans le bon sens en France. Dans le cas contraire, je crois que nous ferions fausse route et que nos valeurs ne seraient, in fine, pas représentées, mais au contraire prises en otages.

Politique = économie

Parlons-nous politique ou économie ? Que les choses soient claires, comment parler de politique sans parler d’économie, car comment vouloir faire de la politique sans faire de l’économie. Nos hommes politiques semblent ne pas le comprendre.

Sur cette terre, il y a globalement deux sortes de systèmes politiques avec bien sur toutes les variantes possibles et imaginables. Mais justement, ces systèmes politiques qui “visent” à permettre aux hommes d’un même pays de vivre entre eux, “répondent” bien de deux idéologies diamétralement opposées qui sont, soit la primauté de la collectivité sur l’individu, soit la primauté de l’individu sur la collectivité.

Et ces systèmes sont bien à appliquer par pays et non pas d’une manière “planétaire” car c’est bien au niveau du pays que l’on met des ressources en commun (par l’impôt) et que l’on bénéficie en retour de services divers.

Dans ces systèmes il faut bien, d’abord créer de la richesse pour ensuite la répartir. C’est là qu’intervient l’état avec plus ou moins d’acuité et d’une manière plus ou moins importante pour collecter et répartir ces ressources. Mais s’il n’y a pas de richesses crées, il n’y a pas de “services collectifs” à répartir. Si par hasard, comme dans certains pays du tiers monde, il y a des fonctionnaires mais pas de richesses, ceux-ci, en plus, ne sont pas payés et sont conduits pour vivre, à faire un autre métier ou à “rançonner” la population.

Le problème est donc bien d’avoir de la richesse à répartir. Cette richesse peut être de deux origines, soit une richesse provenant du territoire du pays comme c’est le cas pour le pétrole, soit une richesse provenant de l’activité des hommes. C’est sur ce dernier terrain que je voudrais me placer.

Quel est le système économique qui va produire le plus de richesse pour la collectivité qui va l’appliquer ? Un système collectif où il est demandé à chacun des individus qui la compose de travailler pour la collectivité, ou bien un système où l’individu va d’abord travailler pour lui avant que de travailler pour la collectivité. Et ce n’est pas tout d’abord ma subjectivité qui va répondre à cette question, mais tout simplement l’Histoire.

Tous les systèmes socialistes qui avaient voulu, par l’idéalisme de quelques utopistes, “régir” les divers pays dans le monde au 20ème siècle se sont effondrés avant la fin de ce siècle à l’exception de quelques uns, sous la coupe de tyrans.

Car c’est dans la nature profonde de l’homme que de travailler d’abord pour lui-même et pour les siens et ensuite seulement pour son “pays” dans la mesure où il y “trouve son compte” au niveau d’un environnement social qui lui permet d’abord de vivre des fruits de son travail. Aujourd’hui en France, les individus travaillent plus pour les autres que pour eux et cela devient de plus en plus insupportable à ceux capables d’entreprendre et de travailler sur le marché libre qu’est l’économie mondiale. Ils s’expatrient.

C’est pour eux la plus grande des injustices que de voir une partie, de plus en plus importante, de leur travail être prise par l’état. Quand ces impôts servent à payer l’éducation de leurs enfants, protéger leur santé, défendre leurs biens, ils peuvent y trouver leur compte. Mais quand ces impôts servent aussi et de plus en plus à “engraisser” des fainéants qui ne veulent pas travailler et auquel la société veut donner les mêmes avantages qu’à ceux qui produisent ces richesses, des gens inutiles au bon fonctionnement de la société, des gens qui arrivent dans notre société en voulant y bénéficier de tous les droits de ceux qui les ont produits, cela ne marche plus.

Les hommes au pouvoir, dans leur grande suffisance, prétendent faire de la politique mais pas de l’économie parcequ’ils croient que l’on peut faire seulement de la politique sans faire de l’économie et montrent ce faisant, qu’ils ne comprennent rien à ce qui “fait” réellement un pays, une vie sociale. Ils agissent comme des enfants gatés qui dilapident, dans un mélange d’insouciance et de futilités, ce que leurs parents avaient épargnés et construits pour eux.

Cela ne peut plus durer bien longtemps. C’est la richesse de la France qu’ils sont en train de “jouer”. Et c’est d’autant plus impardonnable de leur part, qu’à travers le monde entier, ils ont en permanence des exemples de ce qu’il faut faire et des erreurs qui sont les leurs.

Tous les pays collectivistes, juste avant d’imploser, ont compris qu’ils devaient avant de répartir des richesses commencer à les créer. L’union soviétique en tirant les leçons de la faillite de la planification, la Chine en confiant la liberté économique à l’individu pour créer de la richesse. Et cela marche.

Alors il faut croire que les seuls fondements du maintient de ces dirigeants au pouvoir, c’est la richesse résiduelle de notre pays et le fait qu’ils ont mis en place des institutions qui leur permettent de rester encore un peu, mais les derniers scrutins tant de 2002, 2004, 2005 montrent que comme le disait Lincoln, “on ne peut tromper tout le monde tout le temps”.

Les nouveaux dirigeants devront, parceque c’est la “force des choses”, d’abord faire de l’économie avant que de vouloir faire de la politique. Et faire de l’économie c’est d’abord s’appuyer sur ce qui fait marcher l’économie, l’individu. Et le laisser-faire. Notre pays ne pourra pas se passer de l’économie libérale, car rien d’autre ne marche ni n’a jamais marché pour produire des richesses.

jeudi, décembre 22, 2005

Moratoire pour la répression du "travail au noir"

Permettre le travail au noir.

Est-ce le début de l’anarchie ou bien au contraire, une mesure propice à sortir de la crise par le bas ?

Cette mesure peut très facilement et rapidement être mise en place. Il s’agit ni plus ni moins dans un premier temps de créer un moratoire en ce qui concerne la répression du travail au noir.

Dans quel but direz-vous ? Il peut s’agir à la fois de permettre une variable d’ajustement non seulement aux entreprises mais aussi à tous les donneurs d’ordre que peuvent être les particuliers ou associations en ce qui concerne des missions ponctuelles qui, hors de ce procédé ne seraient pas mises en œuvre.

La rémunération au noir, c’est la rémunération d’un contrat passé librement entre celui qui veut faire exécuter un travail, moyennant une contrepartie en argent ou autre et négocié librement avec une ou plusieurs personnes qui vont effectuer cette tâche.

Pour celui qui est le bénéficiaire du service, il n’y a pas de service après vente et à partir du moment où la tâche a été réalisée et a été payée parce qu’acceptée, le contrat précédemment invoqué est clos. Pour celui qui reçoit une contrepartie à son travail, il recevra une somme d’argent ou un service équivalent et c’est tout. Il n’aura pas cotisé, du fait de ce contrat, ni à une assurance maladie, ni retraite, ni accident, ni pourra de ce fait, prétendre à avoir, demain, un autre travail. Pour avoir ces “services” dont tout le monde reconnaît la nécessité, il lui appartiendra de prendre ses dispositions de son coté. Bien sur dans la mesure où sans cotisation de sa part, le “système” ne lui permet pas de prétendre à tout.

Dans ces conditions l’on peut considérer que la plupart des freins au “travail” actuel en France, seraient levés de facto. Travail pour tous ceux qui sont actuellement laissés pour compte de toutes les règles édifiées par la soi-disant “protection sociale”, mais qui sont en réalités que des règles visant à protéger le travail d’une certaine catégorie de français et qui, dans le même temps laissent “sur le carreau” tout un ensemble d’autres français qui sont les exclus de ce fameux “modèle social” français.

Car enfin si l’on veut par exemple que l’adolescent puisse “gagner son argent de poche” il faut bien lui permettre de rendre service à la grande surface du coin quelques heures par semaine pour mettre de la marchandise ne rayon par exemple les jours d’affluence ou sur les marchés. Et l’on peut répéter à l’envie cette démonstration avec les émigrés, les femmes, tous ceux qui n’ont pas la même “productivité” que tous les autres et que le système ne permet pas “d’essayer”. Salaire minimum, règles d’embauche et de licenciement, 35h, effets de seuils pour avoir droits aux prestations sociales etc.

Toutes ces règles dans les faits sont, non seulement les freins au marché du travail mais excluent une partie de la population - que l’on accepte pourtant sur notre sol - d’obtenir des moyens d’existence. Il ne faut pas s’étonner ni de l’explosion dans les banlieues, ni la régression du travail en France et encore moins de la sinistrose qui gagne de plus en plus les français qui ne font pas partie du “cercle fermé des profiteurs du système”.

Et ne parlons pas de la croissance que générerait brutalement tout cet argent qui se remettrait à circuler à destination de tous ceux qui n’ont actuellement plus de pouvoir d’achat et qui contribuent au ralentissement de notre économie. Cet argent serait remis immédiatement dans le circuit économique, car ses bénéficiaires en ont besoin. maintenant.

Et une telle mesure que coûterait-elle à la collectivité ? Rien !

Il n’y a plus de subvention à donner, sans aucune efficacité comme on le voit bien depuis des décennies. Il y aurait un manque à gagner important de taxes dans les caisses de l’état par cette économie parallèle ? C’est ne rien comprendre ni à l’économie ni aux règles qui régissent la vie sociale. Tout ce qui existe actuellement continuerait d’exister car pour l’ensemble des salariés le contrat qui les lient à leurs entreprises leur apportent, une protection sociale, des cotisations retraites et bien d’autres choses encore. Et pour l’entreprise une main d’œuvre stable et qualifiée.

Rien ne dit que cet équilibre serait remis en cause par la “libéralisation” du travail au noir à destination soit d’un complément de rémunération pour eux ou un simple travail pour ceux qui n’en ont pas. Au contraire le travail au noir serait facteur important d’ajustement lors d’un surcroît d’activité et d’équilibre du vrai prix du travail lorsque les tâches à entreprendre ne justifient pas par exemple, par leur manque de qualification requis, de payer leur contrepartie au niveau du SMIG par exemple.

Par contre tous les exclus ou prétendus exclus trouveraient ainsi à être embauchés et “essayés”. Quelle hérésie économique et quelle méconnaissance de l’entreprise toutes ces actions n’ayant pour but que de forcer la main à l’entreprise pour embaucher tel ou tel par une soit disant non-discrimination, mais qui, en méconnaissant ses ressorts, va conduire à sa perte. Comme quoi les politiciens qui nous gouvernent devraient avoir sur leur table de chevet l’histoire de la “poule aux œufs d’or”.

Non l’anarchie d’une telle mesure libératoire du travail au noir n’est que dans l’esprit de tous les étatistes qui nous dirigent - et mal - depuis bien trop longtemps. Cela ne nous conduira qu’à démolir leurs “constructions fictives” qui bloquent la France à tous les niveaux.

Ce sera au contraire une vrai mesure libérale qui redonnera du travail à tous ceux qui veulent vivre de leur travail et non de l’aumône publique qui ne vise en définitive qu’à maintenir une “clientèle” électorale au bénéfice d’une nomenklatura.

On peut arguer que le travail au noir existe déjà par l’échange de service entre les ménages à faible revenus et tous ceux dont l’activité, bien souvent protégée, leur permet de refaire des appartements, déménager ou des travaux de jardinage etc. Mais c’est une goutte d’eau, qui n’est d’ailleurs pas réprimée bien que connue des pouvoirs publics amis. Ne plus réprimer personne, durant un moratoire, c’est permettre à tous ceux qui ont de l’argent, particuliers et entreprises et qui eux, risquent gros à rémunérer au noir des services, de mettre ces sommes énormes dans le marché et relancer la croissance.

On peut encore parler des ateliers clandestins qui tiennent en esclavage des hommes et des femmes sur notre territoire. Ces esclaves, ce sont justement tous ceux à qui l’on permet de rester sur notre territoire sans moyens d’existence. S’ils sont illégaux, renvoyons les chez eux, s’ils sont simplement exclus du marché du travail, libéraliser ce marché du travail c’est leur redonner des moyens d’existence possibles qui feront que ces “négriers” ne trouveront plus preneurs pour leurs manœuvres.

Il faudra peut-être, pour de telles mesures, que tous les sociaux-démocrates collectivistes qui disent nous diriger depuis plus de 30 ans “mangent leur chapeau”, Mais je ne vois pas, pour ma part, quelles nouvelles mesures miracles autres ils pourraient nous sortir pour nous faire vraiment sortir de la crise dans laquelle nous nous enfonçons.

Libéralisateur

lundi, octobre 10, 2005

Épanouissement de l'homme

Je crois que seul le libéralisme peut permettre à l'homme de réellement s'épanouir.

Réussir sa vie d'homme c'est avoir pu évoluer et le libéralisme et le respect du libre-arbitre de chacun permet ce "chemin de vie". Il faut donc œuvrer dans "l'économie" française pour défendre toutes les politiques qui permettent à l'homme d'avoir sur sa vie son "libre-arbitre".

Aujourd'hui la période est critique, car jamais encore l'économie dans laquelle nous vivons et qui est mondiale, n'a autant "conduit" à faire prévaloir de facto une économie libérale quand les gouvernants français de tous bords ne pensent qu'en termes "utilitaristes" et qu'ils entendent encore plus que jamais de "prémunir" chacun de tous systèmes économiques en cherchant à donner autant à celui qui ne travaille pas qu'à celui qui travaille.

Même si à 75 % la population, dans les sondages actuels, se prononce pour dénoncer l'action des hommes politiques qui ne leur apparaît que pour défendre et péreniser leurs seuls statuts et non pas le bien public, aucun d'entre eux n'est capable de proposer aux électeurs une véritable alternative à cette sociale-démocratie, partout dépassée.

Seul l'individu est capable de savoir ce qui est bon pour lui et celà est antinomique que d'autres le fassent à leur place. Dans un simulacre de démocratie, depuis plus de 50 ans une caste s'accapare l'argent des français et d'une manière de plus en plus éhontée pour simplement "vivre sur la bête". C'est d'autant plus évident que toutes leurs décisions, au lieu d'enrichir le pays, l'appauvrit et le divisent. Et dire qu'il suffirait de laisser les gens s'entendre entre eux simplement.

L'homme a qui, dès sa prime éducation, a été éduqué loin du goût de l'effort, dans l'idée que la société n'avait que des devoirs envers lui sans aucune contreparties de sa part, que son travail était inutile pour la société et qu'il serait "nourrit, logé et soigné" jusqu'à son dernier souffle, pourra légitimement se demander, sur son lit de mort ce qu'il est venu faire sur cette terre. C'est la politique vers laquelle la France tend depuis 50 ans. Et c'est contre nature.

Au contraire, si l'homme apprend tout le contraire et que c'est par la force de son seul travail qu'il se réalise, même pour la plus humble des existances, il pourra trouver le bonheur et quelque soit son "karma" il pourra comprendre la vie et évoluer pour se construire. Sa vie sera réussie et il pourra trouver le bonheur d'avoir accompli une partie de sa "mission" terrestre.