Des signaux forts viennent d’être donnés à notre société par Nicolas Sarkozy quand il se met à critiquer la Justice en Seine-Saint-Denis. Il ne s’agit pas là, de voir la dénonciation de carences de la part de l’Etat, mais bien que nous sommes dans la « quadrature du cercle ». Nous aurons beau pouvoir multiplier par dix les budgets de la Police et de la Justice (comprenant des villes-prison où exclure) que rien de l’état actuel que nous connaissons ne sera changé.
Alors les discours de surenchère électoraliste pour n’avoir pas encore alloué les bonnes ressources de la part des sortants doivent être laissées au placard. La société peinant déjà à financer par la richesse nationale l’état providence qui sert de « fonds dc commerce » à notre classe politicienne, comment lui demander de financer encore un véritable état policier qui ne résoudra rien, sauf d’être le germe à une guerre civile contre des bandes de hors la loi où comme toujours ce seront les braves gens qui trinqueront.
Car depuis trente ans nos hommes politiques – pour de multiples raisons – acceptent sur notre territoire des règles morales diverses sous prétexte de l’intégration d’un multiculturalisme « enrichissant ». Cela ne marche pas, cela n’a jamais marché. Tout comme ne marche pas économiquement la chimère du socialisme, un mariage entre une épouse conservatrice et un mari échangiste ou un match sportif de ballon avec certain qui appliquent, sur un même terrain, les règles du football et d’autres les règles du rugby. Si c’est un seul, dans un match de foot, qui applique les règles du rugby, l’arbitre (la police) le siffle et lui met un carton rouge d’exclusion. Mais que ferait l’arbitre si toute une équipe (les bandes de banlieue) se mettait à toucher le ballon avec les mains ? Vous pourriez mettre 10 arbitres, le match ne pourrait avoir lieu !
La problématique n’est donc pas dans ce discours clientéliste de plus ou moins de justice ou de police, mais d’énoncer les règles morales qui régissent notre civilisation européenne et de proscrire de notre territoire tous les autres ordres moraux. Sans cela il n’y aura pas de vie en commun possible et ceci n’en déplaise à tous les égalitaristes. Il ne pourra n’y avoir qu’un seul ordre qui prévaudra et cela passera par une guerre civile de dominance dont nous ne ferions pas l’économie. Pour éviter tous les « passages à l’acte » qui deviennent notre lot habituel, c’est dès la prime enfance que les individus doivent apprendre le « Tu ne tueras pas, tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas le bien d’autrui etc etc. » Et ici, en France, cela ne semble plus la norme commune.
Cela va-t-il plaire aux 55 millions de français judéo-chrétiens que ce soit un autre ordre moral que le leur qui prédomine en France dans 30 ou 50 ans ? La moindre des choses ce serait au moins de le leur demander. Dans les pays arabo-musulmans l’ordre naturel des choses est bien celui d’une seule morale religieuse au delà de la façade virtuelle d’être ouverts à tous les cultes, uniquement là pour donner bonne conscience au monde occidental des « droits de l’homme ». Mais c’est, comme on le voit aujourd’hui, une chimère qui est la cause première de tous nos problèmes.
Une seule morale judéo-chrétienne sur l’Europe et qui soit enseignée dès la maternelle et à la maison. Le catéchisme était là pour cela et on a trop souvent pris la laïcité qui ne devait être fondamentalement qu’anti-cléricale – et cela vaut bien pour tous les clergés - pour de l’athéisme et là cela ne marche plus. Ces apprenti-sorciers ont dissout notre tissu social et on ne peut plus vivre ensemble. Il importe de revenir au plus tôt à la définition d’un ordre moral judéo-chrétien et d’exclure tout le reste. Sinon nous construirons le futur sur du sable. Les problèmes dans les banlieues, dont les pouvoirs publics nous cachent les fondements de la réalité, appellent à un sursaut de notre civilisation.
Nous ne pourrons éviter ce débat et autant que ce soit lors de cette prochaine élection présidentielle. Ce n’est pas tant l’islam qu’il importe d’interdire sur notre sol que de réaffirmer notre judéo-christianisme et de faire la chasse à tout le reste. Car notre survie « civilisationnelle » passera immanquablement par une refondation de valeurs communes. Et ce sont en passant ces mêmes « gauchistes » égalitaristes qui voulaient à la fois un socialisme économique dont la fin du XX èem siècle a vu la faillite, qui pensaient qu’une nouvelle société « égalitaire » pouvait naître d’un chaudron multiculturel. Ce n’est pas possible. Que nos hommes politiques parmi les plus courageux aient le courage de mettre les pieds dans le plat.
Car un ordre nouveau (ancien et naturel?) va forcément revenir. Faut-il que ce soit par des voies démocratiques ou après une guerre civile ? Le statu-quo actuel ne sert qu’à garder leurs prébendes à la classe politique qui les mérite de moins en moins. La France a besoin de faire sa « Glasnost », sinon cela va casser. Exigeons la.
jeudi, septembre 28, 2006
mardi, septembre 05, 2006
Limpidité et clarté d’un programme électoral en 2007
C’est l’heure des programmes après toutes les Universités des différents partis politiques. « Grands messes » ou débats et à défaut commencent à fleurir çà et là, les « questionnaires » aux futurs candidats. Il leur appartiendrait de « prendre une position claire » et pour les libéraux en mal de « panache blanc à rallier », il s’agit surtout de choisir celui qui aura le mieux compris les « promesses » attendues dans les réponses !
Car dans le programme électoral du candidat élu, chacun sait que peu sera mis en place, par la « force des choses » et … par tous les renvois d’ascenseurs bien pratiques en terme d’alibis. Alors les promesses et les réponses aux « questionnaires», elles n’engageront vraiment que ceux qui les recevront. Et pourtant comme tout est simple.
Chacun en France et chez tous les étrangers sait que notre pays souffre avant tout d’un surcroît d’Etat. Trop d’Etat et de contraintes administratives, mais aussi un coût d’Etat accroissant indéfiniment les impôts de ceux qui en payent, stérilisant de plus en plus le goût d’entreprendre, etc etc.
Comment redresser la France sans « réduire » l’Etat, c’est bien sûr impossible sauf de réduire drastiquement « l’Etat providence » dans tous les domaines. Cela implique donc de réduire l’Etat et partant de là, le nombre des agents de l’Etat. En 2002, il fallait réduire la « fracture sociale » et ce projet de réduction du personnel de l’Etat n’était qu’en filigrane. Les statistiques montrent que ce sont moins de 30.000 postes qui auraient été supprimés sur la législature et l’histoire ne nous dit pas si dans le périmètre de ce même Etat, ces 12 derniers mois et pour « réduire » le chômage, ce n’est pas un nombre encore plus important d’emplois publics qui ont été crées.
Réduire le périmètre de l’Etat et partant de là le nombre de ses agents, sera déjà une chose difficile si cela fait parti du programme électoral du candidat qui sera élu. Mais chose tout à fait impossible si cela n’a pas fait parti du choix final des français qui auront porté à la présidence de notre pays celui qui aurait soutenu un tel programme. Et pourtant c’est la clé de toutes les autres réformes.
Fi de tous questionnaires et autres promesses de la part de ceux qui postulent à nos suffrages, soit mon candidat mettra en exergue de son programme la réduction sur les 5 prochaines années de 500.000 le nombre des emplois publics et entrepris la réforme du statut de la Fonction Publique et il n’y aura pas besoin pour la clarté des débats d’y mettre autre chose. Car tout découle de là, croissance, emplois et augmentation du pouvoir d’achat du plus grand nombre. Soit il ne le met pas et en 2012, ce ne sera pas 30 années qui auront été perdues mais 35, si le FMI ne nous a pas aidé avant avec ses remèdes de cheval.
Par ailleurs vouloir l’entreprendre, sans que les français n’aient « tranché », par leurs votes, clairement en faveur de cette mesure phare, ce serait un vrai déni de démocratie. Se faire élire sur un tel programme se sera aussi s’être donné le moyen de la mise en place d’une telle mesure et même contre toutes les manœuvres de rue de tous ceux à qui l’on aura « enlevé leur os ».
Et ce n’est pas l’évaluation du coût d’un tel programme qui empêcherait de le mettre en place puisque ce seront, au contraire des programmes collectivistes et sur cette période, 75 milliards d’euros que la collectivité économisera. Sans rien changer à la « providence » ce sera un équilibre de notre budget et la réduction de la dette publique. Et tous ceux qui travaillent verront enfin, en France, la vraie rupture avec le glissement létal que nous subissons actuellement.
Je n’apporterais pas, en ce qui me concerne, mon vote à un candidat qui n’annoncerait pas cette vraie réforme, ce serait encore trop donner aux ennemis de la France.
Car dans le programme électoral du candidat élu, chacun sait que peu sera mis en place, par la « force des choses » et … par tous les renvois d’ascenseurs bien pratiques en terme d’alibis. Alors les promesses et les réponses aux « questionnaires», elles n’engageront vraiment que ceux qui les recevront. Et pourtant comme tout est simple.
Chacun en France et chez tous les étrangers sait que notre pays souffre avant tout d’un surcroît d’Etat. Trop d’Etat et de contraintes administratives, mais aussi un coût d’Etat accroissant indéfiniment les impôts de ceux qui en payent, stérilisant de plus en plus le goût d’entreprendre, etc etc.
Comment redresser la France sans « réduire » l’Etat, c’est bien sûr impossible sauf de réduire drastiquement « l’Etat providence » dans tous les domaines. Cela implique donc de réduire l’Etat et partant de là, le nombre des agents de l’Etat. En 2002, il fallait réduire la « fracture sociale » et ce projet de réduction du personnel de l’Etat n’était qu’en filigrane. Les statistiques montrent que ce sont moins de 30.000 postes qui auraient été supprimés sur la législature et l’histoire ne nous dit pas si dans le périmètre de ce même Etat, ces 12 derniers mois et pour « réduire » le chômage, ce n’est pas un nombre encore plus important d’emplois publics qui ont été crées.
Réduire le périmètre de l’Etat et partant de là le nombre de ses agents, sera déjà une chose difficile si cela fait parti du programme électoral du candidat qui sera élu. Mais chose tout à fait impossible si cela n’a pas fait parti du choix final des français qui auront porté à la présidence de notre pays celui qui aurait soutenu un tel programme. Et pourtant c’est la clé de toutes les autres réformes.
Fi de tous questionnaires et autres promesses de la part de ceux qui postulent à nos suffrages, soit mon candidat mettra en exergue de son programme la réduction sur les 5 prochaines années de 500.000 le nombre des emplois publics et entrepris la réforme du statut de la Fonction Publique et il n’y aura pas besoin pour la clarté des débats d’y mettre autre chose. Car tout découle de là, croissance, emplois et augmentation du pouvoir d’achat du plus grand nombre. Soit il ne le met pas et en 2012, ce ne sera pas 30 années qui auront été perdues mais 35, si le FMI ne nous a pas aidé avant avec ses remèdes de cheval.
Par ailleurs vouloir l’entreprendre, sans que les français n’aient « tranché », par leurs votes, clairement en faveur de cette mesure phare, ce serait un vrai déni de démocratie. Se faire élire sur un tel programme se sera aussi s’être donné le moyen de la mise en place d’une telle mesure et même contre toutes les manœuvres de rue de tous ceux à qui l’on aura « enlevé leur os ».
Et ce n’est pas l’évaluation du coût d’un tel programme qui empêcherait de le mettre en place puisque ce seront, au contraire des programmes collectivistes et sur cette période, 75 milliards d’euros que la collectivité économisera. Sans rien changer à la « providence » ce sera un équilibre de notre budget et la réduction de la dette publique. Et tous ceux qui travaillent verront enfin, en France, la vraie rupture avec le glissement létal que nous subissons actuellement.
Je n’apporterais pas, en ce qui me concerne, mon vote à un candidat qui n’annoncerait pas cette vraie réforme, ce serait encore trop donner aux ennemis de la France.
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