Dans ce pays, la Nouvelle-Zélande, il y a 20 ans environ comme en Angleterre au moment où Margaret Thatcher est arrivée, le pays "marchait sur la tête" par un accroissement sans fin de l'intervention de l'état dans tous les domaines. L'état dépassait son rôle et le pays allait à la faillite. Nécessité faisant loi, des réformes on été entreprises. Il s'agissait de remettre le rôle de l'état à plat, les néo-zélandais ne pouvaient encore longtemps voir les "pouvoirs publics accaparer sans contrepartie une part de plus en plus grande du travail de la population.
Cet article que vous trouverez en cliquant sur le lien ci-dessous, montre que tout est possible quand le "vase déborde". Il va redonner du courage à tout ceux qui croient que ce serait trop tard en France et que l'on ne peut pas s'en sortir; Il nous manque peut-être un "Ronald Reagan" pour nous emmener dans ce redressement, mais quand il viendra, ne manquez pas de le suivre.
"Réduire l'Etat à ses justes proportions : la Nouvelle Zélande".
-----, le 1er décembre 2005 par Maurice Mac Tigue, ancien ministre de ce pays, qui illustre par de nombreux exemples le nouveau regard qu'il propose de porter sur l'Etat : ses services, à qui rendent-ils service ? A qui en rendent-ils compte ?
Si nous regardons l'histoire, l'importance prise par l'Etat dans la société est un phénomène relativement récent. A partir du milieu du XIXe siècle et jusqu'aux années 1920-1930, dans la plupart des pays industrialisés, les dépenses gouvernementales représentaient seulement 6 % du PNB environ. La période qui a suivi, et plus particulièrement à partir des années cinquante, a vu une explosion gigantesque des dépenses publiques. Elles ont pu représenter, dans certains pays, jusqu'à 35 à 45 % du PNB. Dans le cas de la Suède, les dépenses publiques sont allées jusqu'à représenter 65 % du PNB, ce qui a conduit à une quasi destruction de son économie. Maintenant, pour redonner un peu d'air à son économie, la Suède est en train de démanteler un certain nombre de ses programmes sociaux. Cette augmentation continue des dépenses publiques peut-elle être arrêtée ? Est-il même possible de faire machine arrière ? Pour moi, et en me fondant sur mon expérience vécue, la réponse est positive. Mais une telle volte-face requiert de la part de ceux qui conduisent ce changement un grand art de la communication pour faire comprendre les buts poursuivis et les moyens mis en oeuvre. Il faut aussi avoir le courage de prendre le risque de se tromper, et aussi celui de tirer les leçons de ses erreurs. Tout cela n'est évidemment pas facile.
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