jeudi, mars 29, 2012

Assez que de vouloir formater un homme nouveau !



Ce jour du 29 mars 2012, dans le journal Le Temps de Genève, une nouvelle information qui nous est relatée. Le Président de la Ligue des Droits de l’Homme entend tancer une nouvelle fois le Conseiller Fédéral Suisse Burkhalter sur le fait que la xénophobie aurait tendance à se développer en Suisse. Une lettre en 24 points lui aurait été adressée !...

Quand est-ce que tout ce carnaval va cesser ? Quand est-ce que des instances supra-nationales comme cette Ligue des Droits de l’Homme va-t-elle cesser ses vaines manœuvres vis à vis d’un pays souverain qui n’a pas de leçon à recevoir surtout de gens cooptés qui n’ont aucune légitimité démocratique.

Durant tout le XXème siècle les technocrates, surtout les collectivistes, ont cherché à créer un homme nouveau, standardisé et bien sur, docile. A force de lois liberticides, il lui est interdit de discriminer son petit voisin de palier, qui lui par contre a le devoir de dénoncer les attitudes déviantes du premier nommé. Et l’on voudrait que le « vivre ensemble » marche dans ces conditions ?

Mais la faute à qui si de plus en plus de gens deviennent xénophobes ici en Suisse et bien sur aussi en France et ailleurs en Europe et même dans le monde ? A personne d’autre qu’aux dirigeants de tous ces pays qui ne font en définitive que nous emmerder, mais en aucun cas ne parviendront à changer les êtres humains au moins dans leurs caractères. Chasser le naturel, il revient au galop dit le proverbe. A part d’être de plus en plus liberticides, rien ne changera sauf que l’eau bout sous le couvercle de la marmite et que la fin est inéluctable.

Sur un même territoire comme dans toutes espèces animales l’on ne peut assembler avec bonheur que des individus ayant les mêmes valeurs et d’ailleurs quelques soient les espèces. Mais dans le cas contraire la coexistence est impossible. Elevez un chat ou un chien tout petit avec des lionceaux et même à l’âge adulte tout se passera bien entre eux. Mettez un chat ou un chien - qui n’ont pas fait cet apprentissage d’être élevé dans la même famille - et sur le même territoire que ces lions et revenez le lendemain. Je ne vous fais pas de dessin !

Il en est de même chez les humains. Quels que soient leurs races ou leurs couleurs de peau, mettez sur un même territoire ces individus et élevez les ensemble et avec les mêmes valeurs et il y a de grandes chances pour qu’ils soient frères et qu’aucun d’entre eux ne voient dans ces signes extérieurs la moindre différence. Par contre sur ce même territoire laissez les individus avoir des valeurs différentes dans des communautés telles que celles tenantes de l’islam par exemple et il ne faudra pas vous étonner que les gens deviennent de plus en plus xénophobes. Dans les deux communautés d’ailleurs si on va au bout de l’analyse.

Surtout quand ces mêmes politiciens, ignares en économie, nous conduisent sous des bannières socio-démocrates vers une société qui ne crée plus d’entreprises donc plus d’emplois. Et quand ces citoyens qui n’en peuvent mais, cherchent légitimement des boucs émissaires à leurs malheurs, les amalgames deviennent vite faits. Mais quand le mal est fait, difficile de revenir en arrière. La croissance et les emplois repartant, qui va en profiter le plus vite ? D’où nouvelles jalousies et une jeunesse idéaliste issue des minorités qui se sent dotée d’une mission divine et va perpétrer des carnages comme on vient de le voir en France.

Et cela, ce serait le Monsieur de la Ligue des Droits de l’Homme qui va empêcher, avec ses petits bras musclé,s que les citoyens des pays occidentaux ne soient plus xénophobes ? Non bien sur, mais en attendant on est bien d’accord, il nous indispose. C’est quand même au peuple souverain de dire avec qui il entend partager tout simplement. Pas avec ces technocrates constructivistes de salon.

Alors ces citoyens le disent avec leur bulletin de vote dans un pays comme la Suisse qui, interdisant les minarets, freine ou montre le mécontentement de la population sur ces communautés envahissant leur espace national, mais ailleurs, cela bout sous les crânes et cela va forcément dégénérer si les dirigeants de ces pays ne font pas le nécessaire pour remettre leurs pays dans le bon chemin. Et ce n’est pas en voulant « punir » ceux qui regarderont des sites incitant à terroriser les « infidèles » que cela va changer quoique ce soit.

Déjà, à mon avis, il faut supprimer les abattages halal, pratiques d’un autre âge et les autres signes ostentatoires de cette « religion », comme la burka ou même le voile. Ceux qui veulent conserver pour quelque raison que ce soit ce mode de vie, vont de ce fait, soit devenir végétarien (ce qui va leur faire perdre certainement leur agressivité) soit émigrer sur leurs territoires pour « suivre », suivant les préceptes de leur prophète, la manière de vivre autre qu’en occident et vont y être plus heureux.

Et dans ces conditions il devient bien évident, du moins j’en fais le pari, qu’il y aura moins de xénophobie dans nos régions. Donc plus besoin non plus du monsieur qui veut défendre les « droits de l’homme », les citoyens seront bien assez grands pour savoir ce qu’ils ont à faire.

C’est pourtant simple, évident et de bon sens. Assez de croire pouvoir changer les individus qui d’ailleurs ne le demandent pas. Ces messieurs de la technocratie sont au service des citoyens, pas l’inverse, non ?

3 commentaires:

Josick a dit…

"végétarien (ce qui va leur faire perdre certainement leur agressivité)"

Non, j'ai toujours été choqué par l'agressivité des végétariens, comme s'ils étaient en manque de quelque chose.

Libéralisateur a dit…

Merci Josick d'être un des plus ancien lecteur de mon pauvre blog. Il semble, comme vous l'avez dit à Sophie que vous êtes aux Philippines. Il doit y avoir pour d'autres raisons pas mal de végétariens. D'ici je pensais que les moutons étaient moins agressifs que les loups, pris dans leur généralité bien sur.
A bientôt.

Ian Appel a dit…

C'est marrant, j'allais réagir en disant que je suis tout à fait d'accord sur le fait que le fait de devenir végétarien fait perdre en agressivité. Dans un premier temps du moins...

L'agressivité, lorsqu'elle est avérée, des végétariens n'est pas alimentaire mais sociale, souvent liée à leur mise au ban de la société carnivore jugée "normale", mais j'aimerai aller plus loin et me hasarder à une explication extra-matérielle.
Lorsque l'on mange un animal, cru ou cuit, on absorbe une partie de son énergie, et de ce que l'on pourrait appeler son bouclier. Or, en devenant végétarien on devient plus perméable à certaines ondes, sensations, peu importe le terme, provenant de l'extérieur, et que précisément les carnivores ne ressentent pas. Auxquelles ils sont... immunisés.
La vie moderne, très stressante et extrêmement déconnectée de l'état de nature, n'est vraiment pas favorable aux végétariens, à mon avis.
Ainsi, s'il manque quelque chose aux végétariens, c'est parce qu'ils sont minoritaires et par là même, malheureusement, inadaptés

Je fus végétarien durant 5 ans, aujourd'hui je remange un peu de viande, pouvant attester de mon expérience propre.